YNS - Haram lyrics

Tu crois que j'dort Mais j'taff mon projet à mort A la fin ce sera moi l'plus fort Taisez-vous avant que je n'vous fa**e plus de tort ! J'joue sur tout les tableaux, comme l'Atlético Poukave enfermée dans la cave C'que t'as lance-ba c'est grave C'est l'heure pour toi de devenir un cadavre Argent propre, argent sale (sale) J'm'en bat les couilles tant que j'suis en bon état ! J'suis dans l'haram tellement mes sons sont hard Dites au rap tout entier que j'viens pas pour rigoler, rigoler J'suis bien décidé à tout baiser, tout baiser D'où je viens tu connais Ma**y Grand Ensemble, les plus craint de l'Essonne Nord Ramène ton quartier on va les déshabillés Nique ta mère avec ton secret story Vient à Place 2 France on est filmé c'est encore mieux qu'la télé réalité Tu fais l'canard pour baiser une go, OK ! Tu lance-ba on t'attrape on t'baise ta race, nique sa mère si tu dit qu'j'suis un batard, OK ! Pas de tié-pi chez les rate-pi, OK ! Entre l'ozeye et la schnek, j'prends les yé-bi et la racli un commentaire j'te met une fleu-gi et j'prend aussi tes habilles ! Comment savoir sur qui tiré quand c'est tous des fils de pute ? Porte tes couilles et allume les tous Le rap est un sport si t'es nul t'es l'premier à prendre la porte Ici ca les cross en I comme à Baltimore Crik crik braaah t'es mort ! J'ai une longueur d'avance Même en chien j'ferais pas la manche J'préfère vendre la blanche Les poukave j'vous rafraîchit la mémoire Enfermé, bâillonné dans une cave, on vous mets des grosses teutares Technique de barbare, et si un d'mes gars fini au placard à cause de toi prépare toi aux coups de barres ! Pas d'pitié même si t'es un bubar Si une meuf me ca**e les couilles j'la barre Si t'as la chatte en feu appel moi le canadère, j'vais l'éteindre avec du meuspère ! Putains dans c'rap de merde faut vraiment qu'mes gars et moi on perce Les rappeurs actuels ouvrent trop leur fesses pour des grosses caisses Nous on s'en bat les couilles c'est tout les jours la hess Putains j'ai encore baiser la prod' tout en levant les majeurs en l'air !