[Intro] Dooz kawa Soirée Noire, première élégie Chaque ange est terrible Soirée Noire, Bohemian Rap story 2016 Style'free Ma vie est un Tim Burton Sa B.O. un Timber Timbre Sale gosse depuis ti-pe Y'a peu de chose qui peuvent m'atteindre Poète an*lphabète Je suis qu'un mâle alpha bête J'ai besoin d'un nuage rose Et puis d'une pluie de paillettes Je suis pas net Erreur 404 sur internet Comme le Petit Prince Je suis si seul sur ma planète Un territoire noir glacé Sur mon cheval racé Je suis le cavalier sans tête Qu'a jamais su embra**er Je lui mets un doigt sur la bouche Pour qu'on écoute bien le vent Mais je détruis tout ce que je touche Comme Edward aux mains d'argent On se croit des pouvoirs invincibles Mais on se décime dans les défis Je voudrais juste être invisible Pour traîner dans les douches des filles J'entends d'ici : " é Ecoute ça c'est Dooz kawa, la découverte ! Prends un morceaux de son cœur Son âme est une porte ouverte" Sur moi encore un article Et c'est toujours le froid arctique Je me réchauffe à l'eau de feu Que je vomis comme du Harpic Mais qu'est-ce que tu veux que j'y fa**e Depuis petit je suis anormal Y a des chapitres qu'il faut que j'efface Et puis dire au psy que je dors mal Respirer man ! j J'ai toujours l'esprit Rayman Car l'étoile colle à la peau comme Spiderman Je suis un enfant mutant Errant dans l'école des X-men Sentiments de perte de temps Mais les filles qui font du X m'aiment Je tourne dans la nuit hardcore C'est mon ciné en plein air Je matte avec Donnie Darko Défiler les lampadaires Je me sens comme un comanche Qui dans un ranch pa**ait des nuits J'ai toujours contre ma hanche Le métal froid Bastinelli Quand tu vires aux abysses Comment dire aux Alices Qui reviennent des merveilles que les étoiles s'éteignent elles Les unes après les autres Qu'en ma cervelle De chapelier fou C'est l'obscurité éternelle Je m'endors derrière elle En cuillère, pourtant je suis louche Faudra le payer le surcoût de ses bisous Mais sa bouche est une fenêtre sur cour Je découvre un nouveau monde Sur mon drakkar dans la douche Comme les cafards dans mes placards Appel moi Beetlejuice Et à chaque fin annuelle Je vis un étrange noël de monsieur Jack (Hugo) Daniel Un jour de l'an maudit Y'a un monstre dans ma chambre Qui pourrait m'attraper la jambe Si je descends de mon lit Je dois cacher mon vécu Sinon débute le jugement du petit monde Par ses bandes de faux cul Et ces fils de putes immondes Qui dans les dîners mondains se plaisent à dire Que je suis trop un artiste Pour que ça épate leur potes Ca me traumatise, si j'ai pas trop à tize Que les bobo m'an*lysent comme un tableau de Matisse Ils connaissent pas trop ma zic' , lamentable automatisme Et ça m'attriste Je crois pas qu'ils m'aiment vraiment Ils craignent que je devienne dément Je représente ce trophée que le cirque Barnum dément Et j'habite l'usine désafectée de Willy Wonka Où je bois pour désinfecter mon esprit bancale Et tous vos MC qui l'ouvrent pas là Sont tous mes Oompa Loompa Ça crache du sucre en poudre de la bouche de Dooz Kawa Pardonnez-moi tout ce dawa J'ai pas eu le temps de ranger mes jouets Un bateau de pirate échoué Un doudou qui tousse pas mal Si je suis une sous culture Des milliers de fous n'auraient pas d'âme Depuis le temps qu'on tourne Y'a Strasbourg qui pousse Paname Zemmour est complexé, petit moche ridicule, comme ses an*l- Lyse, et le pire c'est que c'est moi qui encule sa femme : Lise Je suis pas un Djihadiste, genre qui sniff du butagaz Mais chaque nuit j'ai des bombes qui inondent mon lupanar Transpire sur mon pelvis comme Elvis après un Gala Les nuages des banlieues malpolies de Paris sont plus magni- Fiques que les ciel bleus de Napoli dans l'Italie Quand elle répéte mon prénom comme une litanie Ouais je vis ma vie Comme un dragon de Komodo Je m'accommode de ce qui vous dérange Les trous dans mon dos me démangent Ne m'appelle pas mon ange Dégage tes mains À part elle On me touche pas moi Je me souviens de quand j'avais des ailes Dooz Kawa