VII - Les insatisfaites poupées érotiques de Joachim lyrics

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VII - Les insatisfaites poupées érotiques de Joachim lyrics

Yo Tu veux un crackers, Polly ? [Couplet 1] Retranché dans une chambre de bonne Joachim se tait quand ses poupées fredonnent Il aime leurs voix douces, leurs bouches angéliques Renifle et caresse leurs cheveux synthétiques Des produits cosmétiques pour en faire des divas Vautré dans la folie, Joachim divague Les objets s**uels, des bouts de bonne femme Déverser son s**me dans des poupées gonflables Les jours de silence la solitude pèse Et ta seule jouissance, c'est les jouets que tu baises Elles t'obsèdent, de leurs yeux t'observent Elles sont immortelles dans leurs habits de dentelle Délicates, mais tu leurs serres le cou Leurs lèvres pulpeuses n'ont pas tellement de goût Son fantasme : Les voir crier fort Mais malgré ses efforts, elles n'ont jamais d'orgasme S'acharne à la tâche et s'endort sur elles Leur plastique dégage une odeur sensuelle Assouvir ses envies, vaincre ses illusions Besoin de femmes en vie pour calmer ses pulsions [Refrain] Joachim s'enfonce dans des rêveries cruelles Les poupées inertes, insatiables et muettes Il désire seulement de la chair et de l'os T'emmène avec lui dans d'étranges nuits de noce Y subir des supplices à des femmes en latex Du vice et du s**e sur des fils en plastique Les délices de la mort sous des masques de cuir Des besoins pervers sur des mannequins de cire [Couplet 2] Joachim se décide, il a franchi le pas Des morceaux de jeunes filles accompagnent ses repas Elles s'exhibent, il succombe à leurs charmes Il joue du rasoir et s'approche de l'orgasme Entend les craquements de leurs cordes vocales Voir leurs organes flotter dans un bocal C'est si beau toutes ces poupées perverses Trouvées les tripes à l'air à l'arrière d'un tripot Elles sont dans les journaux, on les entend hurler Comme dans des p**nos, statues articulées Approfondir l'entaille, il faut qu'elles endurent Leur saloperies d'entrailles ont bloqué le vide-ordure La police investit l'appart' à Joachim Kroll Retrouve une main au fond d'une ca**erole Au coin d'un couloir, un amas de poupées Dans le congélateur, un corps découpé Ses plaisirs cachés, son anthropophagie Censée soulager ses factures d'épicerie Avec ou sans vie, elles étaient coupables Elles ne valaient pas mieux que des objets jetables [Refrain]