Veerus - Elles lyrics

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Veerus - Elles lyrics

[Refrain] Ce sont des princesses ou des reines d'Afrique Elles ont des points de pa**age et des rêves cla**iques Elles rêvent de vivre et ont l'air extatiques Quand on leur parle et dans cette brève magique Je l'entends pleurer ses séquelles, elles Rêvent de chèques, elles fuient la détresse, elles Je les vois poursuivre leur rêve magique Le regard noir comme un air d'Afrique [Couplet 1] Et elles sont marquées comme ce continent Frappées par les conflits et puis draguées par des cons qui mentent Elles, elles sont marquées parce que leur mari nage dans l'ivresse Visage fade, brisé par la tristesse Laisse le stress s'échapper quelques heures Le temps que sèchent ses yeux ou le temps d'admettre le deuil Seules face aux (ondes d'mer ?), face aux oncles Sœur face au frère, objet face au monde Hier t'habitais les pavtars Aujourd'hui tes larmes partent quand tu quittes le taff tard T'enchaînes les espoirs, les hommes Tu crois en l'amour lorsque que vient l'extase des corps Tu jures que plus jamais tu n'tomberas dans les flots d'alcool Trop hardcore plus jamais tu ne sombreras T'en veux plus, t'attends, tu gères la détresse On s'aime, on s'déteste aujourd'hui, OK, mais jusqu'à quand ? [Refrain] [Couplet 2] Et c'est la chute quand les cris s'enchaînent Perte de confort, de confiance, de contrôle Perte de bon sens, c'est con comme On se sent poussé des ailes à s'envoyer en l'air comme le Concorde Et demain t'essayeras d'oublier Prétextant qu'tu t'en fous que c'était juste pour les billets Mais au fond je sais qu(tu saignes, récoltes mais ne sème pas L'amour, c'est mieux quand on ne s'aime pas Dix ans après t'élèves ton môme seule, et ton âme saigne Bien trop vite pour chercher l'âme sœur Et les larmes cèdent quand le manque d'argent s'en mêle Tu t'offres sans plaisir pour que d'autres hommes s'en payent Tu traînes ton mal-être, ton fils dans quelques galères Finis par investir dans quelques barrettes Jusqu'à ce que la coke te lynche, cinq ans jusqu'à l'OD Et le ghetto décore encore un autre orphelin [Refrain]