Veence Hanao & Le Motel - Mélusine lyrics

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Veence Hanao & Le Motel - Mélusine lyrics

Ok, ouais, bon Des papillons, est-ce un mirage ? Elle vient de partir, j’me sens bizarre J’fixe le plafond encore hilare Quelques griffes dans le dos J’kiffe tantôt, j’étais son gorilla Là son eyeliner tache ma gueule et je ne l’essuie pas Ça fait trois mois qu’on se voit, pa**é minuit Qu’on se retrouve défoncés, baise éhontée, devient-elle ma Mélusine ? Je retrouve sa bouche dans la cuisine Legging baissé, mi-cuisse, ça s’pa**e dans la cuisine J’savais pas ce que j’attendais d’autre [Abraxa] tatoué sur l’épaule Elle se déplace en battant des ailes, oui On se cause moins de nos aventures Elle me parle moins de son ex et m’jure Qu’elle ne le voit plus depuis deux trois semaines, mouais J’fais genre, j’prends tout par-dessus la jambe Pour pas qu’elle crame ma boule au ventre Putain, j’suis vivant, soulagement Ouais, elle parle la langue des ouragans Et m’fait comprendre à 34 ans que j’la couche pas si couramment, non J’tombe amoureux j’crois Le temps de l’écrire j’suis déjà fou de toi Ouais, ouais, j’suis amoureux grave J’me repa**e la nuit qu’on vient de pa**er dans le feu de nos cascades Les mots qui hésitent dans l’escalier pour s’dire au revoir, bye Merde, merde J’ai souri quelques heures jusqu’à ce que des larmes me rattrapent Poussières d’étoiles, j’suis plus si sûr que le ciel veut que j’aille mal Samedi soir, j’crois que j’ai rêvé d’elle dans les bras d’un autre, ouais J’me suis rappelé l’histoire de sa jupe en cuir avec machin chose, ouais Je ne sais pas pourquoi mais les premiers mois On s’disait tout jusqu’à tout savoir Nos dossiers, nos frasques et nos coups d’un soir Qu’est-ce que je vais faire de ces images trashs Qui défilent en boucle dans mes nuits d’angoisses ? Elle, ce parking et ces vilains gars Lui la bite en bois qui lui glisse un doigt Rumination dans les pires détails Nos cerveaux s’adonnent à ce drôle de sport Des fois, ce sont mes fantômes qui l’a**aillent Elle rebaptise ma dernière ex Voldemort Et puis j’crois bien qu’on s’est dit « Je t’aime » Ou par prudence, c’était peut-être « Je m’attache » Elle m’a murmuré : « J’voudrais qu’on s’emmène Où personne d’autre n’a jamais eu sa place » J’ai serré sa gorge : « Bébé si tu mens J’aurais jamais tant aimé le goût du monstre » On a fait l’amour et des heures durant J’ai fait dans ses yeux deux trois tours du monde Paroles niaises mais pas boniments J’parodierais pas, j’suis pas d’humeur Le blues s’est barré, m’disant poliment « On se reverra », j’ai dit « Bah donne une heure » Des soirées se ramènent comme un beau dimanche Nous tournant autour comme deux komodos Le dragon qui mord une fois puis patiente Des fois que Clyde et Bonnie flanchent Des fois que Clyde et Bonnie flanchent Des fois que Clyde et Bonnie flanchent J’me repa**e la nuit qu’on vient de pa**er dans le feu de nos cascades Les mots qui hésitent dans l’escalier pour s’dire au revoir, bye Merde, merde J’ai souri quelques heures jusqu’à ce que des larmes me rattrapent Poussières d’étoiles, j’suis plus si sûr que le ciel veut que j’aille mal