Sprinter - Poignée de Punchlines lyrics

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Sprinter - Poignée de Punchlines lyrics

[Intro] Wesh Dépar' Malo pour le son On vas leur envoyer une putain de poignée Wesh Mehdi, wesh Demi Wesh AP [Couplet 1] Tient elle est là la poignée Ouais il était temps d'envoyer On t'a vu jouer le professionnel pendant qu'on travaillaient Ils parlent tous de rafaler Cagoulé noir, en gros T-Max Un peu partout la même démarche Y'a rien de drôle voyons Ils parlent tous de rafaler La colombienne ils en raffolent A fond lors de leur soirées folles Dans un rôle de voyou Demande à l'autre la rue c'est quoi Y'a pas que des vices à deux balles Dommage vu que de nos jours ça joue les Scarface à tout vas C'est vrai qu'il faut en parler Plus se retrouver au parlu' Aujourd'hui plus que jamais c'est l'époque de «A c'qui paraît» Bref, on est tous là à s'faire du tort Et avec Zazou et un ou deux frères quand j'tournais sous les miradors On dort Non pas vraiment le vrai sommeil est devenu luxe Trop de personnes sans revenu lutte dehors: des Terminators Mode zombie laisse tomber non cette vie laisse tomber non cette vie est d'jà gore Le monde est bien résigné, j' pense qu'on est d'accord California Kush décolle mais c'est chaud quand j'atterris Non ici le rêve des jeunes c'n'est plus la golf GTI DI te l'a dit tu vas finir déficitaire A trop vouloir faire le fêtard ouais on est combien qui s'y perdent Ici, amenés à la débrouillardise depuis p'tit Que du sale que du propre mélange a**ez subtil De 97 à aujourd'hui Toujours dans le circuit Comme Haroun Scred j'arrive dans l'industrie j'trempe mon biscuit Wesh demi cette fois ci j'zappe cette putain de flicaille Pour faire du rap y'a pas besoin de certificat On a tout sous les yeux c'est fou nos vie c'est l'alchimiste Y'a un concert tu fais quoi on mouille le maillot faut que tu mises Ouais disons qui faut que tu mise, c'est ça et faut que tu mises J'remercie l'omniprésent de ne pas être agnostique Ou de pas être créancier, rien pouvoir financer à nos titres Vivre dans la peur Ne jamais rien pouvoir laisser à nos p'tits Sprinter Plus peur non plus des critiqueurs c'est que d'la pollution C'était mon dernier mot: abolition