Sofiane - Outro lyrics

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Sofiane - Outro lyrics

Mais c'est pas vrai, à être honnête sur ma vie les gens perdent Apprend à cacher tes amours, tes ennuies, tes emmerdes Apprend à écouter la journée, a comprendre tes nuits Retiens comme ton nom le plan du chemin par lequel tu t'enfuis Et on en fait des pas d'géant, on touche et sa couche Ne les écoute pas j'te raconterais tout ce qu'ont peut faire avec la bouche Apprenez a aimer la paix, sans les feintes, sans département A apprécier les humbles, les gens simple, la vie simplement Fuyez les drôles d'odeur sa frôle l'horreur On y croise des humains sourire et rire Camoufler la tristesse d'un saule pleureur Issa tu va prendre froid parce que t'a pas mis d'bonnet Sortez moi tout ces mythos d'ma cellule capitonné Tout était faux, plus qu'a partir, sache que si t'a du lourd a dire La vérité appartient a qui a les mots pour la dire Autrement qu'est ce t'en sait J'aurais vécu a l'époque de Molière ces connard apprendrez mes textes en cour de français Ne les écoute pas, mentir sur moi, apprend mes défaut, les gens sont... ! Les plus charismatiques ont moins de charisme qu'une de mes chanson Tu verra comme tout le monde s'en fou de tes regrets tes blessures folles Mais nous les traîtres et les ennemis on les oublient, on les survolent Tous coupables, tous échangerais la vie ou l'sommeil Cherche a palper la lumière, on les encaisses tes coups d'soleil Personne me tire l'oreille comme certains, le déclin Ils sont perdus, tous en chien, ils sont plein, je les plaint Apprend que l'honneur ça va plus loin qu'une belle femme ou qu'une somme Hagra ça paye pas ça peut coûter cher comme la parole d'un homme La vie on s'accroche on y croit Les mots d'un père pèsent largement plus lourd que Tout ce qui peut sortir de la bouche d'un roi Mes regrets pour seul sinistre, mon éducation comme gouvernement, mon cerveau, mon cœur comme ministre Soit t'es victime soit t'es l'auteur, t'es client t'es vendeur apprend toutes les vérités avant de critiquer les menteur Et chacun joue son rôle a fond chacun ses bails Le faire quand il est chaud petit c'est (…) une pièce de théâtre Dis leurs qu'ils réfléchissent entre la blanche et la marron Que le père noël existe et qu'il ressemble a s'y méprendre a ton daron J'ai pesé le poids de la douleur, le silence du vacarme vu la sécheresse d'un océan face a la richesse de tes larmes Laisse les douter de nous, laisse les croire te croire a sec Si je pouvais m'arracher les yeux pour que tu puisse te voir avec Prend soin de toi hayati affronte les sans peur, tu m'enterrera j'veux pas que ta mort me rentre une épée dans l'coeur Si pour certain tu sera cher, un ptit frère, un grand père Un jour tu sera un père entraîne toi quand tu sera grand frère On est seul quand on est un homme, une armé de néant On s'cache dans un trou de souris on pleure des larmes de géant Apprend la victoire dans tes défaites même sans thunes on gagne On peut s'enterrer comme un gouffre avant de s'élever comme une montagne D'où tu viens on boit, on fume pour anesthésier la bête On se met la tète dans les nuages avec un nuage dans la tète La défonce c'est pour les faibles si par le remord t'es habité Apprend a construire la tienne au lieu de fuir la réalité Nul part se trouve le temps perdus alors partout est l'oseille J'te raconterais comme ton sourire a rendu jaloux mon soleil Et même si la lumière est sombre, jour de nuit bref on s'entend On se perd a tromper sa femme trahir la mère de son enfant Ma vie, ma vie, ma vie ce dessin sans couleur ni papier Canson Je jette un magnum a la mer, je suis mort dans mes chansons Fais ton choix dans mes vertus, dans mes addictions Si peux d'éclat et tant de fausse note dans mes partitions Moi j'en tuerais pour ton amour, plus rien ne me touche moi c'est trop tard Tu ma réappris l'innocence toi seul sait noyer mon regard J'ai aimé faire ta connaissance, j'ai poussé ce médecin Rentré dans le ventre de ta mère, je t'en ai sorti de mes mains Ne laisse pas le malheur t'atteindre avant que ton honneur le frappe Il est fourbe comme la pénombre menteur comme un chanteur de rap Et je t'en souhaite une comme ta mère, plus belle que leur sainte trinité Et d'aimer une femme de sa trempe, au tiers de sa dignité Par de la son intimité mesure ton courage a tes actes Toutes les promesse et tout les pactes sont crée pour être rompu J'ai que mes mots la haine ici même la plus folle on la forge On m'aurais fais chanter ce texte avec un laguiole dans la gorge Que le haram c'est comme le bien, lui aussi a ses apôtre Que c'est moche que de tout son cœur on peut souhaité la mort d'un autre Sache qu'on est tous un peu froussard aussi longtemps que dure la tempête Que j'aurais pu écrire tout ça avec un canon sur la tempe mec Apprend a aimer ton seigneur, même grosse caillera d'un gros secteur Si tu connais la rue te trompe pas choisis bien ton protecteur Souris moi j'oublierais tout ce que nous avions subi Ton regard peut faire place nette dans un camion d'rubis Je suis née pour sentir ton pouls pour tout t'offrir je roule, j'expire J't'écoute mes deux mains te tienne, mes deux poumons te respire Mes jnouns finirons par se taire, se calmer, se geler grave Ton père plus que de la musique récite la poésie des drame Hier j'en ai poussé des cris, payé le prix pour m'abreuver Aujourd'hui le plus heureux laisse moi le vivre a en crever J'te présenterais Alger, au chocolat, a la vanille et la mémoire de cette terre qui t'auras coûté ta famille Tu me demandera si c'est possible, j'te dirais cash demain Et cet étrange pouvoir que j'ai de verser mon sang sur des parchemins Et pour que tu n'ai jamais faim je ferais tout ce que j'ai a faire Hors de question que tu mange la ha** a cause des vieux rêvé de ton père Meurs pour ta sœur, ta mère, ta femme protège ta fille c'est ton cadeaux Quitte a risquer l'habs, l'enfer, c'est ton devoir, c'est ton fardeau Lié par le sang au tiens a perpet' ou en rien Soit fier de ressembler a ton père, j'me bat pour ressembler au mien On s'enferme vite dans un mensonge, quand les vérités ne sont pas dites Soit fier de ton seigneur, son messager, de ses hadiths Soit fort comme le fils de Maryam seul contre tous ces lions J'ai tellement aimé son histoire que je t'ai donner son prenom J'étais parfait a l'imparfait, toutes mes pensées noir, mes manœuvres Elle est a toi cette chanson, elle est comme toi c'est un chef d'œuvre De l'incendie à la mousson si tu est la même sans thème j'adhère Issa, Mohamed fils de Sofiane, fils d' Abdelkader