S.E.A.R MON GARS - Master Mind lyrics

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S.E.A.R MON GARS - Master Mind lyrics

Mon gars j'sais pas quoi dire j'aimerai médire mais personne pour m'aider mes dires ne changeront rien j'm'en bats les reins c'est pas moi qu'ai les reines Qu'celui qui les a me jette la première pierre il m'expliquera si il est flic ou simplement schyzo depuis son plus jeune âge Je nage au milieu des baleines et des requins mais sans nageoires un jeune nageur en marge agira comme un ange barge en cage Engrenage de lâche j'ai lésé les phases, j'ai bouffé des pages de mecs qui voulaient niquer l'Etat, et kicker les ta**es, esquiver les tares et les tarés, les léthargiques en manque d'énergie à force de payer des taxes (han) J'bade pas mal j'évite les textes ban*ls, j'viendrai kicker Paname avec mes armes et puis mes hommes en ma**e (non) J'reste al, kickeur en place pour aujourd'hui, j'ai lâché mon du fast et toujours au poil J'ai claqué des phases (han), manqué des pa**es et des barres, j'ai niquer tellement d'bails mais je m'en bat j'me barre Je quitte la boule mon gars, sans carton dans les dents j'ai zappé l'temps juste un instant je prends mes habitudes Incertain avec mes idées d'merde pour aider l'monde en fait tout l'monde s'en fout s'que les gens veulent c'est voir des fous qui s'touchent Des faux qui s'couchent pour des affaires de flouz à flot, des gosses qui crèvent des mouches dans l'oeil, deux trois euros pour faire leur putain d'deuil Des gens heureux dans des pays en guerre et gare à toi mon gars si t'es l'méchant c'est qu'au final t'es dans aucun des camps Je prend des gants ouais j'aimerai claquer deux trois dirigeants des GPS à gens attache ta laisse et file ton compte en banque J'suis éloquent depuis l'temps qu'jai su réaliser qu'une instru et du temps valaient plus cher que des discours latents De qui de quoi j'men bat l'foie et j'ai bien pire que ça, quoi qu'il en soit j'ai soif d'un monde qui brille et dans un corps de rêve Viens que j'tentraine dans la lumière on va s'étreindre jusqu'à s'en étouffer j'vais t'oppresser pendant qu'tu m'léchera l'abdomen Leurs dictons d'merde ingurgent des prophéties en tubes viens que j't'encule après la messe mais ferme ta gueule si tu veux pas qu'j'te brûle Et puis j'écris des pages de proverbes à la con, cons et constitutions qui constituent ma vie mais que j'évite avide De liberté pour la plupart de ces sujets attends les élections pour penser en avoir et élire un connard (putain) Cercle vicieux dans une matrice qui dégénère, à croire que Néo a la crève et ben qu'il claque qu'il nous nique pas nos rêves J'espère que j't'emporte et qu'tu m'suis, j'suis putain d'pessimiste et j'adore ça j'attend qu'la paix s'immisce pour camoufler mon vice Je n'tèjerai pas mon fils au milieu d'sacs de gerbe du samedi soir, tu parles d'un dortoir, j'préfère mourir en croix Et à en croire q'que la croix dit j'irai au paradis, trois dimensions d'bonheur j'observerai les gens sans leur faire peur Mais apeuré des discours embaumés, des disquettes ingérées, j'préfère rester sous ma casquette le cerveau protégé J'me vois partout sauf al, boulevard sunset, ou les empreintes du mal, babylone s'régale de mes digitales On joue la carte des impatients pénitents périlleux, pourris, souriants pour un rien J'veux voir le bonheur des miens M'affaler défoncé, sofa soft et Sambuca soufflée, souffle de souffre offert par les souvenirs fous Et puis les poisons du cœur m'a niqué les bras j'en ai plein l'corps, Alicia ou l'Ève de mon jardin avec des cheveux d'or Et puis mes potes j'les aime, jusqu'à la haine, le regard froid et j'me trimballe jusqu'à s'que Lucie vienne m'effleurer le doigt