Il faut rester dans ces rues animées. A l'heure où les vents se taisent, dans ce quartier mal aimé Il faut la voir cha**er l'obscurité Dans la foule au pied des murs, danser pour oublier Plus on est près d'elle, plus on est loin Loin de nos nuages,nos si raisonnables destins Suffit d'un rien, d'un geste de ses reins Et s'arrête la raison qui nous tiens. Commence alors une autre nuit sans fin Où son corps de feu se cambre et danse jusqu'au petit matin Aux sons des guitares et des tambourins Et les pieds frappant le sol et les mains frappant les mains Et pour tous ces naufragés quotidiens Elle est comme une bouffée d'air, un phare, un lien, une lumière, un refrain Dans nos vies lissent, au paradis lointain Un peu d'amour sans blessure, une aventure, un peu de magie qui revient (Obia) Un mirage (Obia) Sans cage, avec les oiseaux tu voyages On ne sait pas d'où elle vient, où elle va Fille des mers des Antilles ou du soleil Catalans On n'sait jamais pour qui son coeur bat Pour qui le soir ses yeux se maquillent et brûlent si souvent Et pour tous ces naufragés du soir Elle comme une bouffée d'air, un phare, un lien, une lumière, un espoir Dans nos villes aux plaisirs incertains Un peu d'amour sans blessure, une aventure, un peu de magie qui revient (Obia) Un mirage (Obia) Sans cage, avec les oiseaux tu voyages (Obia) Un mirage (Obia) Sans cage, sans cage Obia, féline sirène Danse la joie, la peine En rebelle soumise, elle remet sa chemise Et disparaît soudain (Obia) Un mirage, sans cage (Obia) Sans cage,un mirage, un mirage (Obia) Avec les oiseaux tu voyages (Merci à grenouille pour cettes paroles)