Avant d' être un homme aux parcours atypique, victime d'un destin tragique, il était issus de la cla**e ouvrière, contrairement a ses adversaires politique, il n'a pas fais l' ena ou polytechnique, titulaire d'un C.A.P d'ajusteur fraiseur, il travaillait dans les lignes de chemins de fer. Bien placé pour savoir, en tant que fils de prolétaire, qu'ils étaient animé par une soif de pouvoir, à l'Union Economique et Monétaire. J'vais pas étalé tout son parcours, mais quand il accède à Matignon, il envisage de se présenté aux élections avec pour ambition de crevé l'abcès de la corruption, il l'annonce dans un discours, cela va lui joué des tours à l'hémicycle, lorsqu'il dévoile une liste qui pourrait faire scandale, on l'accuse d'être mêlé à un prêt de manière illégal, alors qu'il gravissait l'échelle social, il est retrouvé tué par deux balles REFRAIN : Suicide ou homicide, vu les éléments troublants, qui coïncide et toutes ces preuves détruite, soit disant qu'il aurait été poussé à bout par le scandale médiatique des journaux satirique. Suicide ou homicide ? Cette mort s'accrédite à un complot politique, il serait grand temps que les élites, étalent ce chapitre, sur la place publique Que s'est-il pa**é ? ce 1er mai, où il commence sa journée par offrir du muguet à sa femme,quelques heures avant le drame, il prépare sa campagne électoral, avec son directeur de cabinet et se rend à une réunion pour la fête du travail, puis à une compétition de canoë, prés du can*l. Pour beaucoup de monde, il est décédé, de façon controversé, y'a des zones d'ombres à élucidé, comme les documents volés, dans son appartement cambriolés, ou la disparition de son carnet et du secret compromettant qu'il renfermé. D'après le canard enchaîné, il en savait trop sur l'affaire Urba ou Pechiney, et devenait gênant. Est-ce qu'on l'a aidé, dans un guet-apens, qu'aurait mal tourné, à se faire liquidé ? Ceux qui ont rédigé le rapport, ont conclut qu'il s'était donné la mort, avec l arme de service de son garde du corps Refrain Son entourage, situé aux première loge, s'interroge sur ce camouflage, et propage la thèse de l'a**a**inat, convaincu qu'c'était un crime d'état, une disquette bien déguisé, commandité, par un comité au sommet de l'Elysée. Sa femme adresse une lettre, pour avoir accès à l'enquête, sur cette mort suspecte, mais sa requête ne sera pas satisfaite. Il en reste, des points d'interrogation, elle trouve aucune explication pour comprendre son geste, et souhaite, avant le délai de prescription, que l'instruction soit réouverte. La presse attribue ce pa**age à un état dépressif et écarte le témoignage des témoins auditif. 20 ans après les faits, l'affaire reste étouffés, l'expertise dissimulé, l'autopsie escamoté, les preuves ont été balayés. La vérité est loin de la version que les médias ont relayés