Nord1g - Cours d' histoire lyrics

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Nord1g - Cours d' histoire lyrics

J' souffle les bougies d'un triste anniversaire, et commémore un épisode occultés de l'histoire, datant d'un centenaire, lorsque le Maroc, perd son indépendance, se disloque, en devenant une province, annexé par la France, ça provoque un choc, après un traité signé le trentième jour du mois de mars. Quelle a été la démarche des comparses sous la houlette du Maréchal Lyautey ? Parti à la conquête, d'une nouvelle terre, dans la requête de récupéré ce qu'il y ' a de plus cher, ces scélérats portaient un masque de pirates, en instaurant le protectorat, ont exploité les réserves de phosphates, et les gisements pétrolier, exproprié les rats des champs, pillé les châteaux, jusqu'a les spolié. L'étoile verte à du sang sur la peau, j arbore fierement mon drapeau, rectifie l'histoire écrit avec l' A.D.N des Tabors et des Goumiers, et puis d'abord, j'pése mes mots, suis conscient que si j'en dis trop, on tentera de m' embarqué pour la subvérsité de mes propos, ou l'on m'a**a**inera en sortant d'un bar comme Mehdi Ben Barka à Saint-Germain-Des-Prés REFRAIN : Attaché entre deux cultures, ne me reproche pas de ressa**é, les blessures du pa**é, pour les générations futur. J' peux pas renoncé, quand il s'agit de dénoncé, ce qu' on nous à caché avec des points de suture, suis attaché, entre deux cultures, j' viens dénoncé, ce qu' on nous à caché, avec un cours Gardez vos indémnisations, j' demande une réparations, pour le désastre qu'a été la colonisations négative. Aucune mission positive, si on aborde les faits de façon rétrospectives, mes déclarations, sont des déflagrations, pour les révisionniste de la nation, lorsque j' décris ce violent bain de sang sur une bande son, j' peux pas accordé mon violon, au diapason du colon, ce serait trouvé une excuse à une abomination. Insurgés contre civils, le 17 avril, tout à basculés, le feu s'embrase dans plusieurs villes, des litres de sang ont coulés, des corps sans vies, sont retrouvé ensevelit, dans les amas de ruines. Le bouleversement, indésirables, des événements, provoque, un changement, considérable, au Maroc, la crise devient moral, lorsque ce bilan est colossale, dans le camps des Arabes, rêvant d'une vie normal. Un certain toubab, rejête cette entrave colonial, il s' appelle Jean Jaurés, pendant le naufrage titanesque, il proteste contre le manque d'humanité, de ces pilleurs de richesse. Et la mission civilisatrice, s' arête le 2 mars 56, laissant derrière elle, des cicatrices, bloqué dans un tunnel, pendant 44 ans, placé sous tutelle, avant d'être indépendant, avec un documentaire, à l'appui, j 'écris et déterre, l'histoire de mon pays. La répression militaire largués des kilos d'explosifs, par canadair, dans les montagnes du Rif, à la fin, de l'année 1920, les berbères, les plus réfractaires, résistent, d'autres marocains, se replient, dans les confins, à la frontière de l'Algérie REFRAIN Une tragédie commune entre le Royaume et l' hexagone, aux temps maudits des colonies, l'absence d'archives, ne doit pas signifié une amnésie, sélectives. Si les regards se défient, c'est que la violence de ce conflit, est enfouit, dans les esprits. Abdelkrim El-Khattabi est un valeureux guerrier, le silence des manuels d'histoire fait preuve de déni, ils oublient plus de la moitié, comment tourné la page si le livre est déchiré ? Etant petit, on m'a juste dit, qu' Charles Martel à arrêté mes ancêtres à Poitiers. Il faut noté, ou savoir, que chaque mémoires, à sa place, dans les programmes scolaires. Ils veulent tiré la cha**e, l'occupation du territoires, est sujet qui fâche, même s'ils ont fait idem en Afrique noire, pour l'esclavage, les minerais d'or et les cornes en ivoire, autant que j' sache, chaque mémoires à sa place, dans les bouquins d'histoires. Mais puisque les élites, ont décidé d'oublié un chapitre, qui pourrait faire polémique, ils méritent, d'allé sur le peloton d' exécution, pour qu'on les décapitent, aux quolibets de la populations, et ensuite, on les jette dans la fosses aux lions. REFRAIN OUTRO : En hommage aux membres de ces familles qui sont devenu fous, Ces tirrailleurs qui ne sont jamais revenus de Diên Biên Phu