MGMV - Encéphale lyrics

J'fonce, non, à l'heure ou j'en suis je cours pas Je m'enfonce, j'compte, rétablir le sort des coupables A force de m'enfermer, j'ai perdu tout espoir J'ai tort de m'entrainer j'devrais sortir et trouver le roi De ce jeux merdique qui m'encombre,les soucis m'indiquent que le temps compte Donc je presse le pas avant que ce soit la gâchette. J'essaye de croire qu'on avenir sort en cachette Mon cerveau se fait la malle, a-t-il compris que j'en valais pas la peine Cette atmosphère m'agace et à chaque fois les mots manquent à l'appel Devrais-je tourner en rond, comme les fous dans leurs camisoles ? Moi dans mon cas, je m'isole Et j'gratte, car la solitude me pèse. Mais c'est tentant de rester enfermer quand des salauds prennent leurs aises Les ados prennent leurs C', cherchent la vérité ailleurs. Pendant que les cathos prennent leurs cierges, confessent leurs péchés et malheurs M'empêcher d'être ailleurs, pour pas que mes boulons sautent. Espérer renaitre meilleur, quand mes doutes se feront faux Car je me fatigue à en trouver un sens. Je m'applique à conserver l'avance, que j'ai acquis sur eux. Depuis des années j'vis sur le fil du rasoir A croire que j'ai un bon équilibre, faites vite que je m'accapare la gloire de ces tarés débiles A ce qu'il parait je débite, des tas de conneries, des phrases horribles. Je veux m'échapper du vice,l'espoir se faufile J'aime quand les vagues fraca**ent les jours de pluies Ca me rappelle que je suis vivant, depuis que je doute je vis, comme Descartes, à me poser des questions Mon encéphale écarte tout projet de rémission Le temps presse mais rien ne change, j'ai tant de rêves j'ai besoin de chance Donc délivrez moi du mal, j'tombe. Seul les livres émanent une large onde Qui me pousse vers le haut, en espérant que le savoir reste une arme. Que de l'avoir sert L'humanité régresse, fuis la Réfugie toi dans tes songes. Etudies. Crois en mon expérience. Sois érudit fonce, illumine, transperce l'immense, étendue d'incultes dansant dans les douves de ce monde Pendant que les puissants s'insurgent d'être qu'une bande de félon. Tentant vainement d'exclure, l'impuissance de ses longues, et véhémentes intrusions dans le coeur de ses cons- Citoyen, abusé depuis longtemps déjà. Jouant les martyrs sans bronché, constatant les dégâts Voila tout ce qui me désole. J'vous laisse appliquer les ordres, je m'en vais rédiger mes propres armes