Merkus - CQFD lyrics

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Merkus - CQFD lyrics

On se pèle le jonc... Lève ta main pour Sullyvan... Lève ta main pour Sullyvan... [Couplet] Lève ta main pour Sullyvan, j'suis l'cauchemar dans un jerrycan J'dédicace mon trou d'balle, le soir, flotte façon steadicam Véritable en touts points, main droite sur mes périphrases Pas besoin d'être infidèle, mes snuff movies sont impérissables En perpétuel décalage, j'fais des phases sans état d'âme J'ai séquestré mes voisins qui s'entraînent à faire du gangsta Rap Impossible à cerner, j'fais des siestes quand tu fermes ta gueule Mon pote, on est pareil, je sais qu'tu m'aimes et, quand je gère, t'as l'seum C'est Skellington, nouveau flingueur de seize barres Mister Jack au mic' alias "le dézingueur de fesses pâles" Slacker incontesté, façon branleur qu'on teste pas J'ai des soucis, des broutilles et des tons-car qu'intercalent Vert pâle, j'suis laminé, laminaire et presque alité J'suis fatigué d'm'agiter entre panique et fiscalité Marqué par toutes ces heures enfoncé dans mon canapé Hara**é, j'suis fascinant, façonné façon arraché Ça m'chagrine mais j'vous emmerde tous, à part les foufs J'suis rebelle mais j'm'en bats les couilles, fais ta vie mais prends pas mes sous Disons le, ça résout beaucoup d'choses de finir dans l'sang J'ai plus envie d'gole-ri, Lisa Ann fait des gang bang... Des conseils dans l'vent, la pureté noyée dans l'chanvre Matraquer des têtes et p't-être que j'éterai des shnecks dans l'chant J'suis red et dead, #Redemption, mode effet indéterminé Pour m'faire flipper, allume avant qu'le journal soit terminé Ça fait, les gens s'la pètent pour mieux récupérer Ça trouve du charme à la misère ; s'lamente et ça fait plus rêver Ça, c'est mes flows sous scellé ; c'est dar, le rap édulcoré Comme enculer des culs serrés, hein, CQFD J'bouffe des Old El Paso devant la saga "Saw Et Hellraiser" correspondent à trois semaines façon thala**o J'ai pas d'réseau et ça m'fait rien vu qu'j'ai pas d'amis J't'ai maudit toute la nuit mais sourirai quand on s'fera la bise Ouais, j'dis pas c'que j'pense mais pense à chaque fois c'que j'dis Toutes ces phases deuspi, les traces de strings pendant les cla**es de ski Les phases que j'kick sont ma stabilité, aléa, j'évite et c'est cla**ique Demain, c'est loin face à cinq lattes de spliff Assa**in d'Rap, j'fais aussi les rituels vaudous Je perce les yeux des poupées bourges qui s'mettent à jouer les zoulous Des fantômes s'mettent à débouler, me chantent que l'temps s'écoule et J'vais bientôt disparaître si je garde mon clavier verrouillé Putain, j'suis pas bien, j'vais m'remettre Hostel Je perds des potes qui, comme ta chasteté, sont pas des grosses pertes Les mecs, faudrait faire chose-quelque, ma mère m'engueule en gospel Les rappeurs tapent des poses gay, Michael Myers sur mes posters Han ! ses-pha breliquées synchronisées La fusion de gros broly metropolisés avec Freezer alcoolisé Je prolifère l'même freluquet qu'les vices font que d'reluquer La Palestine, c'est chiant, c'est mieux les pédés qui s'font relooker J'vais prendre du Smecta J'en ai plein l'cul des bons à rien qui s'donnent en spectacle L'esprit tordu, j'essaye quand même de la jouer mec stable J'sais qu'ça s'arrache les cheveux en écoutant mes freestyles