Il n'y a jamais de hasard Même si c'était un peu tard Tu es entré dans ma maison Je t'ai reconnu, un soir Au fond de la lune noire J'ai reconnu nos émotions Il n'y avait plus qu'à y croire Je t'ai invité à boire Un philtre d'amour, de pa**ion J'ai senti monter l'espoir J'avais du mal à pouvoir Tenir la conversation Je nous voyais dans le noir Pour le plus doux des abandons C'était comme une évidence Ce moment trouble et intense Juste au bord de la perfection Ne pas freiner l'attirance Qui m'envahit et je pense "Pourquoi cette fascination Ce goût de la défaillance Serait-ce une renaissance?" Je me perds dans trop de questions Je parlais en abondance De tout, de rien, dans un sens Je voulais faire diversion Pour alléger tes défenses Tout pour alléger nos tensions Je sentais flotter dans l'air Un parfum lourd et pervers J'attendais une conclusion Le besoin d'être sincère D'aller tout doucement vers La vérité sans traduction Alors, tu as bu ton verre D'un trait, tu as découvert Le feu de la situation Y avait une autre lumière Dans tes yeux, du bleu, du vert À en perdre la raison Et c'est ce qu'on a su faire Point d'orgue sur la partition Il n'y a jamais de hasard...