Malek Sultan - Destiné à finir seul lyrics

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Malek Sultan - Destiné à finir seul lyrics

[Refrain] Destiné à finir seul, grande gueule, et j'pèse mes mots Les crocs poussent, certains deviennent des rivaux Trop de mithos, tchatchent, dispatchent les pivots Poussent vers la rancœur, sueur, nos cœurs on enterre L'amour se perd, le mal se flaire Le vice prend ses repères sert Lucifer seulement A la recherche du flouze on pousse tous, on s'étend Ma langue devient un mouss... [Couplet 1] Ramper faut pas le faire frère, faut pas se tromper Sans vraiment plaire pour ce que je suis vraiment En clair : un mec de l'ombre Combien de faux sourires je dois encaisser ? Je tombe des nues à chaque parole jetée en l'air Pour le plaisir d'avoir une vision qu'on aimerait bien avoir Les visons, les châteaux, la belle vie pour un clando Loin des prisons déjà Hamdou mais l'odeur reste A ton avis on sort d'où toujours tenté Un chemin serpenté s'dresse devant nous Tout part de là, après chacun le sien, la vie c'est un boulot Y'a pas d'intérima, le blé, regarde pas en bas Qui remplit ses cabas de terre, de richesses en bas Qui se salit les mains pour tes mandats, en bas Pour certains le flaire ne vient jamais, damné, a**ervir des pensées tordues Ressa**er des choses qui s'perpétuent de père en fils Qui ose, qui glisse quelque chose d'intéressant dans ces proses D'nos jours combien sommes-nous en haut d'l'affiche ? Dix groupes, sur combien de millions de personnes qui broutent ? La joute reprend du service Plein d'indices prouvent que ce qu'on couve ça finira par payer On finira au Louvre, section Hip-Hop, putain rien que de le dire ça choque Et le butin se fait dans les blocs les rues, pour l'instant Plein de cerveaux s'apprêtent à voir Ce qu'on ne voit pas quand on a la tête dans l'cul On a l'air bête les yeux ouverts sur ses poches nues Combien finissent cloches ? J'suis prêt au sacrifice qu'il faut J'ai pas eu d'pot mais je suis prêt quand même Viens, fais sonner la cloche J'ai mon micro, c'est tout ce qu'il me faut pour tenir mes rennes [Refrain] Destiné à finir seul, grande gueule, et j'pèse mes mots Les crocs poussent, certains deviennent des rivaux Trop de mithos, tchatchent, dispatchent les pivots Poussent vers la rancœur, sueur, nos cœurs on enterre L'amour se perd, le mal se flaire Le vice prend ses repères sert Lucifer seulement A la recherche du flouze on pousse tous, on s'étend Ma langue devient un mouss... [Couplet 2] Tordu, un homme sourd sue, dans la rue la sangsue J'ai perdu l'innocence mais pas la certitude sur ce que je dis Satan nous tend sa perche toujours en période de dèche Cupidon s'est tué seul avec sa propre flèche Là où je vis rien n'est clair, le Cerbère veille Génère une atmosphère tendue, rendue invivable à cause de tordus Qui croquent sans peine le fruit défendu Descendus sans le vouloir dans l'abîme du mal J'ai entendu beaucoup parler de pouvoir Dans le noir beaucoup se sont fait des places Place aux choses sérieuses qui glacent Pas mal de mecs au chaud, j'fais rien comme les autres T'as raison, là où je vis on pense la même chose sur toi, c'est certain La vie n'est pas les rêves, chez les crèves ils doivent se valoir Savoir, pour éviter le parloir Y a jamais de trêve, on fait confiance à personne On se prive, gencives serrées, en crise devant mes feuilles je livre ma vérité Celle qu'il faut que tu saches, celle qui dans le bizz apparaitra Comme un grosse tache, dans une plaque de marbre Mon arbre généalogique je ne le connais pas Seul, faut que j'arrose le mien avec ma grande gueule Devant les feux qui se propagent, combien en veulent ? Pousse dans des déserts, je sors de là où se fonde la misère Là aussi sont fondés mes vers, et je pense aux vers [Refrain] Destiné à finir seul, grande gueule, et j'pèse mes mots Les crocs poussent, certains deviennent des rivaux Trop de mithos, tchatchent, dispatchent les pivots Poussent vers la rancœur, sueur, nos cœurs on enterre L'amour se perd, le mal se flaire Le vice prend ses repères sert Lucifer seulement A la recherche du flouze on pousse tous, on s'étend Ma langue devient un mouss...