[Verse 1 : Interogene] Au solstice d'un matin, dans mes draps tissés de satin Le préjudice sur mes cils, n'est point futile car il m'atteint Charismatique lueur, qui m'attise et climatise mon œil Certes elle m'attire car elle m'avise de l'heure Mais franc fidèle je refuse, je m'enfuis d'elle car dans le ciel C'est la noirceur qui m'allume Entre sommeil et semaines confuses, le sol arpente mes semelles Empreinte de zèle pour elle, qui arpente ma prunelle C'est fou elle rétrécit sous, le soleil de minuit, doux Sommeil de mes nuits qui, débute à midi Qui l'eu crû, ils ne font qu'une, culbute le jour de lune et le culte Du ciel et ses multitudes, de teintes blêmes azur Mon instinct m'a dit, cet instant magique Est typique de l'utopie, mais s'explique à la météo Le jour du météore, donc dès lors, sort, mets tes pieds dehors [Verse 2 : Biliwald] Tu naquis telle une vigne dans un jardin d'olive L'esprit raisonnant seul telle une corde à vide Un mal t'habite, t'écorche à vif Mais le cœur rétorque qu'il a eu tort de se croire si avide Côte à côte avec le vice l'espoir comme acolyte Accote vite la gazoline et esquive ton apocalypse Perçois-tu l'équilibre quand vole le colibri? Pour fendre la brise il faudra briser la chrysalide Trouveras-tu cette voix cristalline sous le clair de lune Sous l'éclat de l'astre brille une sombre pluie son Somptueusement, un voile si puissant Sous le bright side of the moon j'ai trouvé l'ombre de ma personne Une perception telle que le réel semble être pure fiction J'ai trouvé l'amour authentique dans son imperfection Parfum d'exception qui nous berce le soir Quand les mots pèsent le sens l'émotion perce le ciel Persévère, pause ta voix high on the hook et tu seras bite par la fougue Show your light to the moon pourras tu shine sous la foudre. Damn Maestro s'envole pour une folle danse Parcourant la galaxie abord d'une fiole d'encre [Verse 3 : Interogene] Aux douze coups de minuit, en douce court dans la nuit À l'heure où les fous sont des génies, repousse éclairs de zénith Et incite, les matines, à ne pas sonner les matins J'ai pa**ionné ma rétine pour le soir, les éclats d'étain Et mes pas, sillonnent le soir, en quête de je ne sais quoi Peut-être un espoir, envers les étoiles? Qui constelle ma nation, de constellations La platine d'éléments sombres, et lueur d'émanation Les artefacts illuminent, éclairent les actes de l'unique Et m'unis, à l'énigme, qui sans cesse m'anime Ce soir, c'est ma nuit, sur les traces d'Alice Le bagage, mes acquis, je n'ai pas faite mes valises Donc je pars, et pas-à-pas le pavé parade Les épaves de l'habitacle, ou les toits de la Capitale Deviennent un monde habitable, et je sens les élans du vent Fantômes des gentilles âmes, gens d'hier (d'hier) Refrain : Ouvre l'œil, ouvre l'âme Dans le ciel brille une nouvelle flamme (x3)