Lomepal - 70 lyrics

Published

0 317 0

Lomepal - 70 lyrics

"Ça va, chef Antoine ?" Sept zéro, soixante-dix Aïe, aïe, aïe soixante-dix Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille J'aurais douillé, sois-en sûr Mais j'aurais vécu plus vrai J'veux des millions, j'en veux soixante-dix Pour oublier que j'ai peur de die-ie-ie-ie C'est moi que j'ai le gros s**e et c'est moi que j'ai les crocs, c'est Moi le plus nerveux mais c'est moi que j'ai l'air trop zen Vas-y, roule une autre meuj, ça caille (ça caille) En boucle comme sur un cahier Et c'est moi que je prends la place, personne va me faire un procès C'est moi le plus cla**e, même quand je choisis d'être obscène Demande à mes ex-copines qui braillent Les gouttes de sueur les trahissent Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille J'aurais douillé, sois-en sûr Mais j'aurais vécu plus vrai J'veux des millions, j'en veux soixante-dix Pour oublier que j'ai peur de die-ie-ie-ie Aujourd'hui bon vivant, je pars de rien Mais quand la fête se finit, le cafard revient Comme en septembre Le buvard d'Hendrix aurait empêché que ça s'étende Mes frères belges appellent ça les années septante (Hey) Si j't'ai laissée m'emmener quelque part C'est que t'es encore plus belle que barge (Hey) Cette nuit, escaladons le square J'ai de l'or dans les couilles, il faut me sucer pour le croire Allez allez, fais-moi croire que cette vie est belle J'suis trop guidé par ma libido pour me méfier d'elle Sois pas mal à l'aise quand les gens te matent Te juger c'est pas le genre de ma gueule Danse comme si t'avais les jambes de Michael (Hey, hey, hey) Plante verte est plus relaxante qu'un spa Une gueule de bois ça coûte quinze balles La mort ça coûte même pas trois centimes Mes frangins ne peuvent plus pa**er un soir sans tize On s'éteindra avant de souffler nos soixante-dix La seule putain d'époque qui m'aille J'aurais douillé, sois-en sûr Mais j'aurais vécu plus vrai J'veux des millions, j'en veux soixante-dix Pour oublier que j'ai peur de die Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille Soixante-dix, un âge que j'atteindrai sûrement jamais Ramenez-moi en soixante-dix, la seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille J'aurais douillé, sois-en sûr Mais j'aurais vécu plus vrai J'veux des millions, j'en veux soixante-dix Pour oublier que j'ai peur de die-ie-ie-ie C'est moi que j'ai le gros s**e et c'est moi que j'ai les crocs C'est moi le plus nerveux mais c'est moi que j'ai l'air trop zen C'est moi que je prends la place, personne va me faire un procès C'est moi le plus cla**e, même quand je choisis d'être obscène Demande à mes ex-copines qui braillent Les gouttes de sueur les trahissent Hey hey, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix Sept zéro, soixante-dix La seule putain d'époque qui m'aille-aille-aille-aille-aille