Les Compagnons De La Chanson - Il Y Avait Trois Jeunes Garçons lyrics

Published

0 117 0

Les Compagnons De La Chanson - Il Y Avait Trois Jeunes Garçons lyrics

Il y avait trois jeunes garçons Par un beau dimanche Sur la route blanche Qui marchaient La la la, qui chantaient Il y avait là sur le gazon Par un beau dimanche Mademoiselle Blanche Une fille Très gentille Qui rêvait Et le soleil riait à pleines dents Et ses rayons illuminait la terre L'amour courait sur tout le continent Cherchant des coeurs en quête de lumière Il y avait trois jeunes garçons Par un beau dimanche Sur la route blanche Qui marchaient La la la, qui chantaient Le premier ne trouvait rien de drôle Sans rien dire il haussa les épaules Le second gars qui n'avait pas de chance Dit: "l'amour ça n'a pas d'importance" Le troisième qui la trouvait très belle Dit: "partez, je resterai près d'elle" Il y avait trois jeunes garçons Par un beau dimanche Sur la route blanche Qui marchaient La la la, qui chantaient Il y avait là sur le gazon Par un beau dimanche Mademoiselle Blanche Une fille Très gentille Qui riait Et le garçon décoiffait ses cheveux Et le garçon fripait tout son corsage Et la fillette riait à ces jeux Son rire résonnait au voisinage Il y avait deux jeunes garçons Par un beau dimanche Sur la route blanche Qui marchaient Qui chantaient Quand il parla de choses étranges Elle crut entendre chanter les anges Alors la belle ferma les yeux Comme pour remercier les cieux Mais dieu n'entendit pas sa prière Et quand elle releva les paupières Il y avait un jeune garçon Par un beau dimanche Sur la route blanche Qui marchait Qui chantait Il restait là sur le gazon Par un beau dimanche Mademoiselle Blanche Une fille Très gentille Qui pleurait Elle pleurait sa jeunesse perdue Et le vent cherchait à sécher ses larmes Mais l'écho lui disait: "tu as perdu Mademoiselle Blanche ta blancheur et ton charme" Il y avait là sur le gazon Par un beau dimanche Mademoiselle Blanche Une fille Très gentille Qui pleurait Tandis que le gars marchait Tandis que la nuit tombait La belle pleurait, pleurait La vie