LeGaScred - LGS Station lyrics

On me dit déroutant, je renais dans la pénombre Je vois la vie comme une piquouze, m'injectant cette rage piquante Donc, misanthrope mais pas trop, en visant l'trône, rien en poches Ouais ! sans crew, et sans ta**, f** ta croupe moi j'accroche Le ciel me crache à la figure la poisse à chaque trip J'voudrai changer d'optique, mais j'ai peu d'estime pour ta clique Chacun de mes rêves, est une pierre à l'édifice Si mon espoir est un fil, je suture tout les artistes Alors ta rue te défendra et te propose Mais moi mon monde est si morose, que la mienne sent l'overdose Sent bien mes proses, tu comprendras ma descente Langage indécent, encre noir pour le dessin C'est LeGaScred, moitié humaine moitié machine J'évacue tant par ma zik, mais je ne crois plus en la magie J'ai peur de rien, à part de moi et de vous J'ai peu de lien, à part la foi et les fous J'ai que du lin, quand la soie et l'or t'approuvent J'ai ce destin ambigu, de quoi bien te rendre maboule Hé ma couille, immatures sont les envies qui nous projettent La chance se crochète, si y'a plus l'temps à la prochaine Approchez sans trop penser Venez danser sans trépa**er Plus le temps d'pioncer, bé oui l'ami je dois tracer mon odyssée Jette ton corps, mais conserve ton âme Conseil de brave, quand j' fatigue ton art.. Juste un démon satirique élégant Ramenant sa démence sympathique, évidente! Pas de conscience, mais t'inquiète j'ai la folie L'égalité en sang, demandez à la Police V'la la chronique Disturb et LGS V'la l'acoustique de ma voix et d' mon stress Je traîne mes pas, mec tu n'aimes pas Je saigne aux éclats, c'est inévitable Regard blessé par l'épaisseur d'un univers que je délaisse C'est l'horloge de la mode que l'on dérègle Refrain: J'ai la voix sèche, mais je reste sain et zen Rose noir dans un désert, messe noire dans un baiser J'ai le cœur plein de bonnes choses c'est positif! Grosse voix dans un brouillard, à cloche pattes dans mes récits (Tes paroles n'ont d'la valeur que si tes actes les appuient Sentiments sans les indices, quand mes vérités atrophient)