[Senamo] Merde, le silence est d'or, ça m'saoule, j'parlais pas fort Sur l'droit chemin, j'suis en slalom avec la mort J'trouve mes repères quand j'pense à vous Mes cris dans l'vide valent autant qu'mes murmures dans la foule Ramène 10 'teilles de fond parce que j'aime plus l'alcool J'ai des centaines de textes, au fond, j'ai qu'une parole On rendra que dalle à César parce que tout est à nous Il a fallu qu'nos chemins se croisent pour te couper la route Tu m'étonnes pas, c'est pire qu'une satanée malédiction Souvent, j'titube, j'emprunte le sentier de la perdition J'vois qu't'es déçu par moi Chut, j'vais m'effacer Muet et égaré, j'crois qu'j'ai perdu ma voix [Rizla] J'ai tout donné sans reprendre Cousin, c'est sans rancune Y'a des gens, des choses, qui m'manquent, j'y ai laissé quelques plumes Mon énergie, ma sueur, mon sang, son numéro d'portable J'ai les yeux fermés mais je n'rêve pas, je n'dors pas Couplet égaré, ma vie d'couple et mon ego Frère, ma fierté s'est barrée, mon nez coule et j'en ai gros Sur le cœur et des barreaux l'ont verrouillé, sous écrou J'ai double [?] et je les baise, j'sais pas où j's'rai sans mes couilles Paraît qu'le temps, c'est du fric et on s'perd à vouloir en faire Plus tu bosses et plus t'es proche d'là où on t'enterre À quoi sert de faire le fort ? On a tous une direction Mais on a peur et direct on perd le Nord Y'a rien d'tel que la santé, et on la maltraite Mais on a tout à perdre quand celle-ci vient à s'absenter Le temps, l’orgueil, l'amour, la haine, la vertu J'avais la fougue, la vraie, mais frère, j'l'ai perdue [La Smala] Les portes claquent, le temps pa**e comme comme un courant d'air Tôt ou tard, on retrouvera c'que la vie nous enlève La pluie coule sans cesse J'trempe ma plume dans les endroits bizarres où la nuit nous emmène Les portes claquent, le temps pa**e comme comme un courant d'air Tôt ou tard, on retrouvera c'que la vie nous enlève La pluie coule sans cesse J'trempe ma plume dans les endroits bizarres où la nuit nous emmène [F.L.O.] Une vie d'grand mutant Super comment j'tue l'temps Du-per dans la substance J'comprends qu't'aies foutu l'camp, hey J'aurais dû être alerté par les soupirs Ma belle, aimer, c'est accepter d'souffrir J'ai connu chutes et défaites J'ai été dur et très faible J'regarde le pa**é, maintenant, la vie n'est plus c'qu'elle était Parfois, j'suis frustré, c'est vrai Ou même plus très détèr' Tu peux jacqueter et critiquer, mais pas brûler nos rêves [Seyté] À quoi bon s'poser des questions si personne peut répondre ? Y'a d'quoi jeter l'éponge, y'a d'quoi péter les plombs Autour, y'a qu'des voitures, des gars qui comptent les ronds Une pouffia**e qui s'la pète, un camé qui s'défonce Cours toujours plus vite Fais du fric et du fric Mais ne viens pas râler quand tu n'auras plus d'vie On s'agite comme des fourmis, tous au cœur de l'usine Tout ça m'donne le tournis, j'veux l'amour et d'la musique Ci-mer, j'donnerais si cher pour un p'tit bout d'espoir Y'a que la Lune qui m'est fidèle, elle est là tous les soirs Crois-en toi et ta chance te suivra J'préfère qu'ils m'haïssent pour c'que j'suis plutôt qu'ils m'aiment pour c'que je ne suis pas Le futur pue l'espoir, comme un billet d'Loto Si demain, ça pète, poto, ce ne sera pas trop tôt Enlevée ma vertu, ils m'avaient avertis On était pas très riche, quand j'vois c'qu'on a perdu Check! [La Smala] Les portes claquent, le temps pa**e comme comme un courant d'air Tôt ou tard, on retrouvera c'que la vie nous enlève La pluie coule sans cesse J'trempe ma plume dans les endroits bizarres où la nuit nous emmène Les portes claquent, le temps pa**e comme comme un courant d'air Tôt ou tard, on retrouvera c'que la vie nous enlève La pluie coule sans cesse J'trempe ma plume dans les endroits bizarres où la nuit nous emmène