La Fouine - Sombre introduction lyrics

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La Fouine - Sombre introduction lyrics

Bang, bang, bang, couplet sombre, on voit que j’écris la nuit J’me prends des patates par le flic et je nie ; céréales de weed au petit-déjeuner T’es sur le net et j’suis sur TF1 ; j’ai connu la galère, les hôtels F1 Putains d’hypocrites, dans le game, y’en a plein ; quand ils étaient personne, je leur tendais la main J’ai coupé des plaquettes, j’ai coupé des barrettes ; avec la misère, gros, j’ai coupé les ponts J’ai grandi dans l’sept-huit : la galère, on connaît ; dur de différencier les merdes et les bons Y’a ceux qui la prennent et y’a ceux qui la vendent ; à mes baskets, y’avait seulement deux bandes L’été au quartier, on bouffait des glaces à l’eau ; maintenant, j’ai les pompes, tah les Virgil Abloh On s’était dit : “À la vie, à la mort” mais, pour avoir ta vie, ils te souhaiteraient la mort Fais ta vie avec, gros, si tu l’aimes à mort ; ils ont pété l’khoya, putain, j’ai le mors Tes MCs sont relégables en CFA ; t’es millionnaire mais en francs CFA On sait pas qui t’es, on s’en bat les couilles de toi ; sers-nous pas la main, ici, on t’connaît pas Si tu m’dois d’l’argent, rembourse-moi dans les délais ; les keufs me coursent et j’accélère comme Dembélé Mes bijoux sont glacés, mes poignets sont gelés ; j’veux pas de cette meuf, elle est plate comme ma télé Problèmes de respiration, j’ai b’soin d’un bédo, nique sa mère la Ventoline J’ai dû reconstruire l’amitié dans mon cœur, la traîtrise avait tout démoli Si l’rap n’existait pas, j’s’rais devant le hall, j’bicraverais d’la ppe-fra devant le hall La rue, c’est pas du cinéma, joue pas un rôle ; fallait pas manger chez elle, elle t’a fait le s’hour En hiver, la go, je l’ai rendue ouf ; j’lui ai mis un oigt-d mais j’ai gardé le moufle Si t’es en chien, mec, qué-bra le hanout ; même si j’meurs de faim, j’mangerai jamais du halouf Bang, bang, bang, plus d’tête-à-tête, gros, ça finit en bang Tu leur devais des sous, ça a fini en bang ; pour régler les malentendus, y’a des bangs Des gros bangs, bangs, bangs ; on n’est plus là, salam aleykoum Virus autotune, la rue a pris froid, les guns éternuent, aatchoummm.