La la la la la... Je ne pourrai dire que je me sens bien qu'une fois que j'aurai fondé mon propre monde et qu'en fermant les yeux très fort j'aurai fini par m'y perdre Persistant à dire que pour le taf' seul l'accord facilite un transit plus facile et tout en douceur Comme All Bran pour la merde Je vis la vie amère de n'importe quel type dont Les pensées égarées dans une brume de réflexion conduit à tout considérer Sans illusion aucune Peu de chance que je termine à arpenter les rues avec une canne Je suis né nu, effrayé, plein de placenta, ensanglanté Et c'est à partir de ce jour que les choses se sont mises à empirer BAISE LES GENS ! Ils ne cessent de mentir et transpirer Et leurs gouttes de sueurs s'écrasent sur le sol et forment des flaques visqueuses où viennent se noyer tous mes espoirs d'une vie meilleure La plupart disent qu'ils voudraient partir ailleurs Moi je m'en tape je sais que ce que je veux faire se cache au plus profond de moi Comme mon poids, mon intestin grêle, ou même une sonde an*le Les psychologues ont dit que je ne serais jamais normal Je vais grimper Je prêche pas Mais je pêche trop Et ça ne mord jamais comme une octogénaire qui suce et dont le dentier reste là et je la bra**e dans un verre d'eau posé sur la table de nuit Ce que je dit est inouï mais c'est ma vie Fuzati, je suis le 155e Pokémon Celui dont personne ne connaît l'existence Qui peut m'aimer ? Personne J'ai les voyelles et c'est le bonheur qu'a les consonnes Et comme je suis lucide et je sais qu il n'y a aucune chance que l'on se croise Je pourrais jamais communiquer et vous ne comprendrez jamais rien à aucune de mes phases Mais ça c'est pas de me faute C'est pas du tout ma faute... La la la la la la... Klub des Loosers... On est déjà mort...