Kindred - Sur Terre lyrics

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Kindred - Sur Terre lyrics

C'est jamais qu'un de plus... Un morceau de plus, un jour de pluie. J'étais celui qui bédavait le plus... jusqu'à ce que je puisse plus J'ai pris de la drogue et de l'âge, la porte et le large Payé la note, fêté l'album avant qu'il ne sorte Je suis toujours pas avare de mon temps J'en perds tellement... Une fortune d'errements Sincèrement, rien à t'apprendre en pire période 2013, je suis plus le grand frère de personne Ce morceau, c'est pour dire : pas de nostalgie L'expérience suffit pas. Non mais range cet air sérieux ! Je me suis promis de m'exiler de cette terre Plutôt que de donner le gout de l'échec à ceux qui y naissent Regarde : y a pas eu de der des ders L'histoire nous apprend ce qu'on peut La vie est moins naze que trompeuse, j'ai compris ça Tu poses ton gun ? Un autre le sort. C'était son tour Alors, nos cultures, nos savoirs, nos pratiques, c'est pareil : Tu les partages ou tu la fermes ! Dis-le aux vieux de la veille : sérieux faites-vous la belle ! Même du caviar ils feraient de la merde C'est pas la même, non, le nihilisme et le désespoir Tu m'excuseras... J'ai pas encore fini d'y croire Juste pour avoir croisé de quoi Toi-même tu sais, ça tient souvent qu'à un regard Cette terre est pleine de surprises, c'est bien ce qu'elle a de plus beau. Et qu'on ait plein de défauts, c'est pas ce qu'on a de plus triste. Pas là pour jouer les durs, J'ai faim de vous, cannibale J'ai pa**é l'âge d'être vide Si y a pas le temps, c'est tant mieux... J'ai a**ez compté les heures... Si y a pas le temps, c'est tant mieux... Alors c'est vrai que je ramène bien du lourd dans mes thèmes Je m'en suis mis dans le zen, dans les poumons, les veines J'ai des potes à l'asile, de la merde plein les yeux Des fantômes ont peuplé mon sommeil depuis peu mais... Mais toute l'armée des ombres Peut squatter les sommets, elle ne cache pas le soleil, non Même bardé de mauvaises ondes J‘essaie de pas m'attarder dans de fausses consolations Ça, c'est pour mes survivants Mes jamais sûrs de rien, des années de plus en moins Tu sais bien, tout se guérit pas sur le divan Je l'ai su furtivement, je réapprendrai demain Mortels, donc humbles forcément Car plus on en connait, et plus on n'en sait rien À propos de la vingtaine, moi je me la joue modeste Parce qu'en vrai, y survivre a des accents de défaite J'ai rien appris reufré, ça je m'en souviens très bien Des remords j'en ai plein, je les remets à demain Mes hiers et ailleurs sont épuisés de regrets J'ai traversé le miroir, je voulais briser le reflet Je n'ai qu'aujourd'hui pour prendre de la force... J'en ai du taf pour déjouer le sort Le temps, c'est de l'argent sur mes tempes... On se reposera quand on sera morts