L'homme se meurt, Gisant criblé de poussière, Le corps maculé de sang, Linceul de misère. L'ombre abat sa lumière... Annihilée, L'âme ainsi se pend! Aguerrie, La peur s'étend! La trêve est loin... Le rêve sans teint. De l'autre côté, sans égards, Se crèvent des leurres brisés, Des larmes s'écoulent lentement L'amertume pour l'être oublié! Annihilée, L'âme ainsi se pend! Aguerrie, la peur s'étend! La trêve est loin... Le rêve sans teint.