Tower Beatz - Premier Seize lyrics

[Intro: Paddy] Yo, First scratch dans les bac Paddy Ouais [Verse 1: Paddy] Je rappe mon 16 je rappe ma peine Je rase les murs quand je rap du vrai Car ces rapaces rapidement vont appliquer Si je rap de l'art, appliquer mais sons radis C'est a Paris que je remplirais mon porte feuille rapide Ahri j'attend d'irradier ces charpies La musique j'en suis son mari Tapez fin de la partie, direct sur le tapis Sempiternel produit trempé dans les abysses Ouais tu te rend compte du commercial l'ami Rappeur travesti, pour eux c'est déjà fini [Verse 2: Paddy] J'en ai a**ez des sentiment trompeurs Mon cerveau les suit comme sur un prompteur 11 heures, je "taffe" sur ma piste, je t'ai sur ma liste On n'est pas dans Alice au pays des morveux Vertueux et nerveux j'en reveux, pour mes honneurs Tu panses mes blessures et quand t'y penses ça fait bizarre de battre nos pesées quand Apres tant d'années qu'on est potes tu préfères dire que tu vas ger-chan Ce n'est pas demain qu'on changera l'amitié mec C'est foutu, ces hommes ont le cœur abîmé et sec [Verse 3: Paddy] Demain est fait de nouveautés, ya du bonheur ya du malheur A toi de choisir, le choix s'impose c'est tes valeurs Prend ta pause et écoute moi poser sur la feuille J'espere la destruction des armes Je veux la disparition des larmes, la cicatrisation des arbres Mieux qu'un magicien divin j'ai plus qu'un couplet sous la main T'entends cette phrase est mon emblème, mais est ce que ça te pose un blême ? Qui t'a dit que j'étais saint, j'avance sans mesurer le couplet T'inquiète ce rap est pour les miens je n'en retire pas du blé [Verse 4: Paddy] Pendant que tu perds ton temps a remplir des cônes Je remplis les comptes, pret a t'affronter Malgré les trombes, prêt a sortir de l'ombre Conduit effrontée mène à la tombe Pas si loin, tu touches le fond Mème un pingouin fous plus les jetons J'enlève le frein, pour les faux-jetons J'arrive fissa fissa on se revoit dans dix ans dix ans Les faux sons s'intensifient, le game est salissant Si je tenais compte des insultes je mourrais c'est évident Dans ce monde tant de différences Le contraste nord sud est saisissant Le malheur est sévissant