Tom Coyne - P.O.R.C. (Pourquoi on resterait calme ?) lyrics

Published

0 56 0

Tom Coyne - P.O.R.C. (Pourquoi on resterait calme ?) lyrics

[Couplet 1: Ekoué] Le champ est libre comme l'air, toujours le même calibre Mes chers confrères, dans la main pour tuer et ne plus dissuader Quelques fils de putains en travers de notre chemin La coupe est pleine et oui on crache dans la soupe Et sur les sales groupes, et que quelqu'un se la ramène J'ai toujours pas retrouvé le sourire ni ce dancefloor de salopes Du rap et du r'n'b non stop Ici le style et autant de scrupules qu'une maison d'arrêt qui brûle C'est dire comme ça craint le pire, comme ça sert à rien de nous ralentir Je peux encore vous surprendre car aucune stèle sera a**ez grande Pour qui se branle sur nos séquelles comme des pucelles Ou se rendent complices des parties de ball-trap de la police [Refrain] Pendant que la censure peine de tous ses efforts Et que d'obscurs syndicats de porcs En cas d'encombrantes bavures invoquent le coup du sort Et nous convoquent leur état-major [Couplet 2: Hamé] Bref, rien de nouveau sous le soleil Les mêmes vieilles chiennes sur leurs vieilles piles d'oseille Ces bonnes vieilles lois pour nos bons vieux trous à rats Un extra cette fois, un trophée ces derniers mois Une portée de gorets s'est coincée entre les mailles de mon filet J'y ai même trouvé un code pénal à tranche dorée Expédié par voie d'huissier, avec tous les bravos de la place Beauvau Le pompon, la cerise, je crois ma plus grosse prise Ça me changera des frises et de la bouillie pour chats Qu'on sert en grande fête foraine républicaine Ça m'inspire l'amour et la joie Qui fait défaut à mes rengaines, bien trop chargées de haine [Refrain] Pendant que la censure peine de tous ses efforts Et que d'obscurs syndicats de porcs En cas d'encombrantes bavures invoquent le coup du sort Et nous convoquent leur état-major [Couplet 3: Philippe] Encore du rap de fils d'immigrés étranger à leurs codes Pourtant si familier aux flics et à leurs brutales méthodes Au rang des non alignés, qualifiés d'infâmes diffamateurs Encore et trop d'honneur qui nous distingue des amateurs C'est La Rumeur, quatre têtes à abattre Que les censeurs se ra**urent, y'a pas que la mesure qu'on va battre 2004 plein de haine, même interdit d'antenne Des centaines de détracteurs au cul que mon son préoccupe Je suis de ces braises pas éteintes qui crament dans leurs enceintes Ou dans les plaintes de ces fils de "tainp" Assis au banc des accusés puisque absent au banc des priorités La parole arrachée par les minorités [Refrain] Pendant que la censure peine de tous ses efforts Et que d'obscurs syndicats de porcs En cas d'encombrantes bavures invoquent le coup du sort Et nous convoquent leur état-major