Tengo John - Grand boulevard lyrics

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Tengo John - Grand boulevard lyrics

[Intro] Theo Skellington, sur ce genre de boulevard... Avec mes couche-tards on doute, gars [Refrain] Monte dans la gova On va rider grand boulevard Sans doute gars, car d'habitude mon clan s'couche tard On en a vite fait le tour, ça s'bouge habité de doutes Je crois qu'l'immensité me trouble, là posé dans c'grand boulevard [Couplet] Encore un soir de plus, à traîner sous la pluie Avec mes doutes, navré que j'étouffe à errer toute la nuit J'anime souvent ma mine quand surgi le creux du soir Marine doit être une gamine, pour avoir si peur du noir Peux-tu croire, qu'on nous parle encore de violence raciale A-t-on oublié tout l'sang versé comme un torrent glacial Quand j'pense à ça, ça m'fout les boules etjoue des tours tu l'sais En attendant faut qu'j'trouve des sous Et qu'goûte épouse et troue l'succès J'trouve plus d'fresh, mes poches j'les ai vidées Les doutes surviennent Les galères j'esquivais mais j'éviter les coups d'justesse T'as écouter c'qu'on apporte, et t'es encore choqué Faut qu'le rap nous ouvre la porte Pour qu'on fa**e des morceaux clés J'adore zoner, étouffe mes craintes 'vec un gros joint Et J lo m'rejoint, dans une chambre désordonnée Lorsque l'espoir s'éveille, et qu'les étoiles s'éteignent Alors j'déploie mes ailes, pour qu'j'gratte des textes de haute volée Clope au bec 'vec l'équipe, sur le quai du métro Poches trouées, frénétique, j'fume et j'rêve d'une belle go Décoller d'l'école et arrêter de déconner Récolter les trophées dorés avec mes collègues On m'surnomme le squelette, le surhomme obsolète En fait j'suis aigri et quand j'écris je fusionne 'vec les lettres Même quand le spleen prend fin Des larmes coulent comme des perles de pluie J'taffe des textes à temps plein, quand j'ai besoin d'faire le vide J'erre le visage marqué par la solitude J'ai qu'la drogue cette jolie pute pour atténuer ma folie pure A Paname j'me balade le temps défile et j'en vois la durée Le mic j'le patate le sh** j'l'effrite et j'envoie la purée Tant d'soirs à m'buter, à croire que j'n'aime pas la vie Solitaire, peu solidaire à croire que j'n'ai pas d'amis Pas d'abîme, j'a**a**ine, mic calciné ça m'fascine Avachi, j'taffe la rime, chaque ligne est un cataclysme Et c'est mon quotidien, traîner dans nos p'tits liens Ressentir un vide, m'isoler vite quand je ne produis rien Car j'aime le rap bien qu'ça m'détruise et m'dépa**e peut-être Que ça m'déprime, me maîtrise et qu'l'espoir se perd J'sais qu'j'vais croire que j'ai une chance de percer dans c'truc De bercer l'instru, d'baiser l'intrus, et qu'j'exploite mes rêves J'compte beaucoup sur l'futur, pour carrer mes bêtes de failles Juste besoin d'quelques mesures, pour claquer des 16 de tailles [Refrain] x2