KYO - Fremen lyrics

Published

0 212 0

KYO - Fremen lyrics

Pendant que nos villes brûlent dans le carburant des ??? Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus Les pieds dans le goudron la tête dans les plumes J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu Je te ferai valser sur des tangos et vibrer les côtes Tanguer sur des îlots d'un nouveau monde à l’autre Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu Il pleut des cordes sur les gabardines Moi j'ai toujours su que les femmes avaient le goût de grenadine Les taxis pa**ent et l'envie défile A la vitesse d'un limier lâché sure sa cible I'm coming after, coming after, coming after you And I'm coming after, coming after, coming after you I'm coming after, coming after, coming after you And coming after, coming after, coming after you Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète Nos meilleures histoires dorment sous les couvertures Jusqu'à c'qu'une lampe le soir révèlent la vraie nature Les pieds au plafond, la tête dans le future J'ai chuchoté si fort que tout le monde s'est tu Tournée générale, c'est pour moi, vas-y sers toi Ce que je donne je ne le reprends pas J'ai croqué dans le fruit qui m'était défendu Je te ferai la cour comme on ne le fait plus Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète I'm coming after, coming after, coming after you And I'm coming after, coming after, coming after you Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète