Des heures de voyage à travers la pampa m'ont fait comme un soleil sur des neiges éternelles quelle paix intérieure - Dieu, quelles promenades toutes les sensations viennent de mon travail L'idée de ton retour, splendide comme jamais, torturant et étrange, fait souffrir de l'époque il n'y a pour le moment plus de poissons dans l'eau je ne comprends pas les hommes Jouir et puis manger me font pertes inouïes Comme me donnent raison ces sales événements Je l'ai toujours senti, mes lèvres sur la montagne Adieu bonne nature A tant craindre l'amour, il n'y a rien de nouveau En musique de chambre, endroit chaud et douillet l'Europe est le désordre qui tourment à son gré je tiens au compte-gouttes Je rencontre aujourd'hui, un agneau dans les bras, ton grand paquebot blanc qu'on traîne à l'échafaud, les travaux, la maison me font beaucoup de bien je ne crains pas l'hiver