Hugo Loïs - Stash House lyrics

[Couplet 1] J'ai capturé ton attention, catapulté ma rage dans l'son J'rappe pas pour monter mais pour a**umer mon ascension Fils, on a ce groove technique Nique tes homies thug, tes OG's pleurent Nos tireurs débarquent déguisés en room-service QI criminel, des bruits militaires, les stups s'immiscent discret Flashback d'une vie similaire Pour ça qu'j'suis vieux jeu, Stash House dans l'neuf deux Des reufs de, toutes les nationalités Check la flyness mixée avec le seum Plein d'voyous se sont perdus en voulant s'éduquer tout seuls Cousin, on reste fly on est seize dans la place Prends toi mon seize dans la face, ou bien 16 dans la face De l'enfer serais-je exempté ? Trop de dealers les terrains sont segmentés Si tu veux pa**er crème il faut qu'tes faux papiers soient étrangers Manie l'chrome facile, smoke ma**if Un squad no joke, j'm'active la coke attire, en tant que business Oui j'ai vendu du crack mais pas de poudre Mes gars rappent comme Nas dans Barbecue Le rap moderne contre moi c'est le présentateur contre le stade de foot J'suis la voix du peuple donc bon courage aux rappeurs Est-ce le courage ou la peur qui t'fait emprunter la voix du gun ? Propage mes lyrics, all black everything, a**omme ta clique trop lèg' n***a, c'est du street knowledge depuis l'collège [Couplet 2] Ayo j'm'endors en comptant combien d'fois j'ai risqué ma vie J'ai jamais su choisir entre l'amour du risque et ma vie Gros culs, armes et stup' J'étais là pour cramer l'stud, si tu m'croises à Harlem Sud Sous kush je dialogue Obnubilé par le son : les pa**ages piétons sont des touches de piano Les, enceintes crachent mon rap comme par césarienne Dieu m'offre les preuves donc la prose est régalienne On, fly toute la journée Ta meuf est comme un joint : tu tires 2 fois, tu fais tourner Tous rêvent de ces thunes, la hainece réfuge A la base j'étais gentil mais mes joues sont moins solides que celles de Jésus A Cannes j'arrive, film sur le cataclysme que can*lise mon cannabis J'vois flou, one two, check le crom' Et si tu veux nous trouver, négro, cherche le trône