Freeze - Rest In Parc lyrics

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Freeze - Rest In Parc lyrics

Je me souviens quand j'étais môme je n'étais qu'apprenti J'attendais le week-end pour monter sur Paris Avec les frères, nous remontions la Seine Prêts à croiser le fer, libérer Lutèce de sa muselière Nous étions les rois, jamais aucune lacune Bienvenue au Parc, en France, les deux meilleures tribunes Nous étions chez nous, au Parc des Princes Les babtous de Boulbi, les drapeaux de kinf Nous n'avions pas de cash, très peu de joueurs de grande cla**e Chante ou dégage, l'honneur du virage Respectés de tous, sur le périph on pousse Quand le Parisien chante, la province tousse Nous n'avions peur de rien, gardiens de la capitale Ils aimaient jouer chez nous, car c'était infernal Nous n'avions pas ces noms de stars sur la pelouse Nous n'avions pas d'amis car Paris n'aime pas la bouse Nous n'avions pas ces drapeaux agités par des fous Mais nous étions l'âme du Parc, les princes c'est nous !! Paris pleure, Paris s'endort Crève cœur véritable silence de mort Le Parc se meurt, mais résonne encore Du chant des ultras à jamais dans nos coeurs L' histoire s'écrit dès 1978 quand naît Un KOP historique bientôt dans une enceinte mythique Mais petit frère dans l'ombre, monte, gronde Petit frère en 91 fait l'effet dune bombe Des frères qui font du Parc un lieu unique Quand leurs deux voix s'élèvent sur le même périphérique Nous avions une âme, née sur le macadam Nous avions cette flamme dans les yeux pour la team de Paname Nous avions du cœur, la France des frayeurs Fallait venir au parc ressentir la ferveur Vous avez l'odeur et la saveur de l'argent sans limite Nous avions l'honneur, des valeurs et du mérite Les ultras du Parc, sont une légende Les autres ont tous pris des claques, aucun n'en redemande A l'amende était le paysan sous le ciel de Paris Moi j'avais des frissons, vous nous avez tout pris Nostalgique du Parc fais tourner ce son Car il est un hommage aux a**oces, à notre façon Paris pleure, Paris s'endort Crève cœur véritable silence de mort Le parc se meurt, mais raisonne encore Du chant des ultras à jamais dans nos cœurs (bis)