Falcko - Génération baizé du crâne lyrics

On a grandit et le mal sur terre y est Tell'ment parano que j'me méfie même de mon bull terrier À 12 ans ça t'appelle: "wesh ma gueule" 5 ans plus tard, en soum soum ton poto serre ta reus Alors on baise la vie comme une pute car elle l'est Ça sort des brolic car c'est plus Paris c'est L.A On voit l'av'nir dans un Cayenne S Et serre des go non pas parc'qu'elles sont ge-vier mais parce qu'elles baisent Pour un tchek chelou ça part en boum boum Et certains achètent de l'amour avec un trans' au bois d'boubou On a lâché les cours Un poto peut chwara ta darone alors qu'avant il lui portait ses courses Ça s'embrouille plus pour des cartes mais pour un tarot d'seum Pour un milkshake tu t'prends 1 chla** dans la moelle osseuse Comme un ex détenu, l'avenir j'le vois pareil Ta darone marche pieds nus et toi tu roules en Touareg J'te fais pas la morale j'me la fais à moi-même Incapable à mon âge de dire je t'aime à ma mère Génération d'boloss, c'est plus ok mais oki Mais à ton enterrement pourraient même t'chwara ton smoking (Refraine) J'connais ma tess par cœur tellement j'y ai fais les 100 pas Sans blague, entre les descentes la mort de semblables Ça tapait des grandes barres, maintenant les barres sont dans les cotes HLM BOY, le temps pa**e (2) J'ai vu des photos d'ghetto youth avec le pouce dans la bouche Si j'taffais au Do Mac, je cracherais dans ta bouffe Génération sa sort le brolic mais ça n'a**ure pas Sa gère des bêtes de raclis que ça n'a**ume pas On a tous des carrières d'escobar car c'est moins facile de recevoir un bisou qu'une balle dans l'estomac Sa parle de bracos, il y a pas un sou à la banque, comme remerciement, sa fait un gros doigt à la France Parano tout en avançant, dur de viser la lune comme la lucarne pour un avant-centre Sa manque de respect à la darone et au daron Enfermé dans des mètres carrés, normal que ça tourne pas rond Tu me tcheck je te tcheck, tu me crache dessus, je te crache dessus, prend toi une balle et marque le but Tu né tu vis tu meurs demande à ceux qui ne sont plus là Leurs prières noyées dans des larmes sortez les tubas (Refrain)