Babylon Circus - La Caravane lyrics

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Babylon Circus - La Caravane lyrics

Dans mon reve yavait l'chant d'une vieille dame Qu'avait du en voir de triste boheme Un grand feu qui rechauffait nos âmes Une lueur d'espoir comme dans un poème Parti en cendres mon rêve a levé l'camp Nomadisant sur les routes du destin Les rêves ca n'dure jamais longtemps Petite houle poursuit son chemin La caravane pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e elle est pas prête de s'arrêter Et les chiens n'ont pas fini d'aboyer Dans mon rêve elle pa**ait juste en bas d'chez moi La route des epices parfumait la rue Elle venant d'ailleurs et partant par la bas Chaque tribu portant sa nouvelle Le ronron des balayeuses a eu raison de mes songes et mes reves s'evanouissent dans l'impa**e Derriere les murs des murmures la solitude nous ronge Les rues vidents nourrissent nos angoisses La caravane pa**e pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e elle est pas prete de s'arreter Et les chiens n'ont pas fini d'aboyer Dans mon reve iavait des chameaux Qui portaient l'monde entier sur leur dos On se pressait pour entrer sous les tentes Ecouter ses histoires fascinantes J'me suis cogné la tete contre une barriere douaniere internée sur une terre inhospitaliere Les gardes frontiere ratissent la cote voila la maniere d'acceuillir Ses hotes La caravane pa**e et c'est pas celle du moine ou celle des vacances La caravane pa**e partout La caravane pa**e derriere les palissades sous le pont d'l'autre côté d'la rocaille La caravane pa**e pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e elle est pas prete de s'arreter et les chiens n'ont pas fini d'aboyer Dans mon reve y'avais l'chant d'une vieille dame Qu'avait du en voir de triste boheme Un grand feu qui rechauffait nos ames Une lueur d'espoir comme dans un poeme Une lueur d'espoir... La caravane pa**e pa**e la caravane pa**e La caravane pa**e elle ne fait que pa**er La caravane pa**e elle est pas prete de s'arreter Et les chiens n'ont pas fini d'aboyer (Merci à lou pour cettes paroles)