[Refrain] : Des fois j'ai l'impression qu'ils veulent que j'arrête Sans moi l'rap est un poisson sans arrêtes Mais faut leur mettre la pression sans arrêt Pourtant je me bats comme un lion dans l'arène Parfois j'ai l'impression qu'ils veulent que j'arrête Sans moi l'rap est un poisson sans arrêtes Mais faut leur mettre la pression sans arrêt Pourtant je me bats comme un lion dans l'arène A croire que ces cons jalousent mon harem Jamais dans leur programmation leur barème Que je fa**e de la figuration comme Karen Faites attention le scorpion peut piquer salement A croire que ces cons jalousent mon harem Jamais dans leur programmation leur barème Que je fa**e de la figuration comme Karen Faites attention le scorpion peut piquer salement [Premier couplet] Tellement ça jacte derrière que j'en ai mal au dos (Rien à battre) Personne me gère dans le rap, je suis comme Laure Manaudou Manolo tue-moi cette merde gluante, MC qui joue les truands Qui arrive tout confiant puis repart tout en suant Mais qui sera là dans 10 ans ? Si Dieu veut, maîtrisant le micro Même face aux négros les plus méprisants Zilizo celui qui écrit sans feuille ni stylo et qui chante Avec un flow logique et mathématique comme l'épicentre Les pissenlits par la racine tu boufferas (Hey !)
Tu parles mal mais jamais tu nous toucheras Car on des des bons gens, on fait du bon son Depuis longtemps, on met les gens en sang [Refrain] [Deuxième couplet] J'ai donné ma vie à la rap music Si l'Etat donnait des diplômes je serais Bac + 10 Toujours travailler mes flows, toujours travailler mes shows On nous a pété nos studios mais j'ai toujours vu travailler Melo Un texte posé sur la MPC Mon seul vice c'était les femmes, désolé j'aime baiser T'essaye de me boycotte mais j'ai toujours la cote Ceux qui foncent rappent sont mes potes Mwen pa ni tan pou zot Les pissenlits par la racine tu boufferas (Hey !) Tu parles mal mais jamais tu nous toucheras Car on des des bons gens, on fait du bon son Depuis longtemps, on met les gens en sang [Refrain] [Troisième couplet] Sa mère lui disait souvent s'il avait appris ses leçons Comme ses textes de rap, chaque soir le voyant poussant le son Qu'il serait avocat, aurait un doctorat bien de toute façon Peu importe ses choix, il resterait son petit garçon Celui qui baisse jamais les bras Si il faut qu'il se tape, il se tape, courage impénétrable, mental d'acier C'est pas un billet qui l'aurait fait sourciller Toujours prier, pour se protéger de certains sorciers