SUR LE CHEMIN DE LA VIE
Le regard au plafond, les yeux grands ouverts
J'essaye de voir l'avenir à ciel ouvert
C'est comme si je marche a tombeau ouvert
Les tonnerres grondent ; le ciel couvert, je marche, oui, les jours comme les nuits, jamais je ne lâche parce qu'il s'agit de ma vie
Je garde toujours le courage, même dans le pire des orages, je suis tellement tombé face contre terre, sable plein d'les yeux
C'est comme une autre mer sans voué tu t'enfonce au monde, tu fis tes adieux mais par la grâce de Dieux je me relève, toujours plus fort, je bondi mon cœur toute va s'arrêter
Je reste seul même quand le temps presse
Sur le chemin de la vie, j'en fonce dans mes peines mais j'avance quand même, dans l'obscurité de la nuit le pure et mal sont trop mais, j'ai l'espoir que le jour s'élèvera
Le regard au plafond, les yeux grands ouverts
J'essaye de voir l'avenir à ciel ouvert
C'est comme si je marche a tombeau ouvert
Les tonnerres grondent …
Je reconnais toutes mes erreurs
Je me remets dans toutes mes douleurs
N'espère pas de seconde chance parce que quand tu ne l'a pas ! Tu t'en mords les doigts
Des obstacles, j'en ai franchi plein
Ce n'est rien, comparez a ceux qui vient
Je sais que, je n'suis pas au bout de mes peines
Alors je marche quant mes forces me le permette, tant que le souffle me permet de vivre, je gaiete, la moindre essaye de bonheur, dans des forces que je cherche dans vos cœurs
Sur le chemin de la vie, j'en fonce dans mes peines mais j'avance quand même, dans l'obscurité de la nuit le pure et mal sont trop mais, j'ai l'espoir que le jour s'élèvera
Le regard au plafond, les yeux grands ouverts
J'essaye de voir l'avenir à ciel ouvert
C'est comme si je marche a tombeau ouvert
Les tonnerres grondent …