Il y a au centre-ville
De l'eau qui coule au bord des rues
Et qu'on balaye au jour levé.
J'irai du pas tranquille
De ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien à regretter...
Parce que, tu vois,
Bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et là, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'étais fait pour vivre
A son bord.
Il y a, vers la presqu-île,
Des barques qui s'en vont, le soir,
Vers où nous ne serons jamais allés.
Les adieux difficiles
De ceux qu'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses à oublier...
Parce que, tu vois,
Bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et là, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'étais fait pour vivre
A son bord...
A son bord