Y a ce type en cla**e A, coup de klaxon devant le lycée Genre je te claque ça, style ma clique de cla**ieux claques sous Mais claque ta porte mec, tout le monde s’en fout, personne t’a capté T’es trop dépa**é. Pilier de bar RMIiste, dix pastis de trop Prêt à se foutre à poil, paye une tournée générale En général, la risée du balto, gagne 10 balles au banco Devient le prince des baldos Habillée Dior du haut en bas Ceux qui pioncent dehors elle ne supporte pas Jusqu’ici entretenue mais bientôt dans la rue Car son mec, lui ne la supporte plus Souvent on veut a**ouvir ses souhaits mais ça n’arrive pas si souvent Souhaitons que la vie nous sourit mais ça n’arrive pas si souvent Refrain : (x2) L’existence reste en substance Différence ou ressemblance Apparence sans évidence Tout le monde cherche un sens à son existence Perdu sous ses cartons dans un coin de ton quartier Quatre ans à concocter une idée révolutionnaire Une fois brevetée catapulté millionnaire Une bande de cancres banlieuzarbis Que rien ne destinait à rien, d’un rien, juste l’envie Puis quelques guitares Maintenant ils gagnent leur vie
Juste à foutre le bazar Né sans avoir été conçu et de père inconnu Surnommé Jésus s’il avait su Du bas de l’échelle jusqu’au haut de la croix Aux quatre coins du monde son nom s’est répandu Souvent on veut a**ouvir ses souhaits mais ça n’arrive pas si souvent Souhaitons que la vie nous sourit mais ça n’arrive pas si souvent (refrain) Y’en a qu’en ont rien à battre Pire que des pitts aux coups de putes Qu’ont comme but de te battre De t’écraser pour un peu plus briller Attirer l’attention et gravir les échelons Y’en a qu’ont des envies suicidaires Y’en a qui luttent pour rester sur terre Et y a des sadiques, des pervers Et y a tous ceux qui laissent faire Et y a tous les paumés, camés, tarés, les exclus, les sans-papiers Ceux qu’ont pas de chance et ceux qu’ont pas à supporter Ceux qui vivent en marge et ceux qu’ont pas cautionné Y en a qui fabriquent des bombes atomiques Et y a les fous de Dieu et les fins tragiques Et y en a qui malgré tout restent optimistes Et rêvent de faire cesser les haines Dans le fond c’est vrai On est presque tous frères (refrain)