Le temps coule,
Le long de mes jours
Et rien n'en vient dévier le cours,
Minute après minute
Imperceptible prison de velours
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux, les symptômes
Cafard et matins de...
Cafard et matins de...
Cafard et matins de peu.
Le temps coule
L'ami, tes beaux discours
N'aident ni ne me sont d'un grand secours,
Sans ennui, quel ennui,
Alors j'en sollicite le concours
Est-ce un sortilège?
Oh, dites-moi mon Dieu
M'en sortirai-je?
Est-ce les changements de saison
Ou les mauvais offices de quelque démon que ce blues?
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux, les symptômes
Cafard et matins de...
Cafard et matins de...
Cafard et matins de peu.
Quand plus rien ne trouve grâce à mes yeux
Le syndrome des réveils filandreux, les symptômes
Cafard et matins de...
Cafard et matins de...
Cafard et matins de peu.