[couplet 1]
Enfance précaire, déjà tout petit gratteur de règles et d'équerre
J'attendais la fin des cours loin de penser que j'allais finir d'équerre
Dans un détour, j'ai grandis sous des tours
Ha j'étais comme si j'avais tiré un rail d'éther, je savais que je venais déter
(africaine?) pour elle je déterre la plume de guerre
Loin d'avoir connu une évolution péper dans un décore conditionné a causer des tors
Inconditionné a la haine des porcs qui avaient plein d'idées pour organiser mon départ
Aidé par l'amour de mes parents sans me soucier du pire
On avais la rnouna au nez et des grosse xxxx qui transpirent
J'étais un d'ces gamins
Bercé par l'influence des arrachés de sacs a mains
Et tu vois ça comment? ici le désespoir est le plus grand des point commun, comme un
Gamin qui vois sa mère pleurer, ça t'étonne de voir ce qu'il commet
Arrête de déconner, sur un chemin bétonné, une tonne de merde c'est tout ce qu'il connait
ça peut t'étonner, la haine est détonné, elle fait mal comme un kick au nez
Autour de ça la télé ne fait que mythoner
Elle fait aussi rêver les petits qui voyaient les grands picoler dans les ruelles et dans les cités
La publicité incite a l'illicite, moins de leçon récité ainsi tes chances de réussites
Coulent avec le rêve des anciens dans le déficit ici la vie te pose un défis si tôt
Donc a la récré sous le préau arracher des pépito
Quand je vois tout ces minis sans la xxx j'me revois en train d'essayer de voler des bonbons au casino
Les équipes se complétaient comme un jeu de domino, chacun voulait dominer, on était que des minos
Avec des figure d'ancien cheminot nos chemins s'acheminaient en ce disant nique le père noel et sa cheminé
Et de toute façon ici par ou il pourrait rentrer? si un mec était venu blindé on aurait put l'éventrer
J'te donne juste un aperçus de la ou nos rêves étaient encré, il ce pa**ais encore plus de choses a l'heure ou fallait rentrer mais
Les rares moments ou je resté tard mon frère venait m'chercher d'entrée pour pas m'laisser traîner
[refrain]
Enfance précaire, mec qu'on était gamins
A l'époque ou a l'école on se tenait la main
On pa**ait nos dimanche a jouer dans des voitures volé
Tous a fond de foot on était dégoûté du volley
Enfance précaire
On faisait tellement d'bordel que les voisins fermaient leur volets, la morve au nez
On zonait en espérant s'envoler mais nos pieds étaient cloué la ou nos cris résonnaient
[couplet 2]
Au fil du temps de moins en moins de stylos dans la trousse
On a grandit sur le béton en se sentant dans la brousse
Xxx forever, petit rêveur, qui jouait au frisbee avec des enjoliveur
Un rien nous faisait rire, rare étaient les moments d'ennuie
On savait bien qu'le cartier changeait dés que tombait la nuit
On cavalait tous en coeur en criant des conneries
On partait en voyage, j'ai un collègue qui habitait au 15 eme étage
On courait dans les cage, d'escaliers, ou nos cris résonnaient "sa mère la pute au dernier arrivé"
On disait des chose qu'on était pas en mesure de peser
Mais c'est ce qu'on entendait a chaque fois que les grands sont posé
[refrain]