Une aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants,
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon cur qui s'oublie
Aux soleils couchants.
Et d'étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants sur les grèves,
Fantômes vermeils,
Défilent sans trêves,
Défilent, pareils
À des grands soleils
Couchants sur les grèves.