Kopf/Amsellem
Vous viviez comme un prince, je chantais pour trois sous
Dan un bal de province et je rvais de vous
La fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
Je vous aurais aim avant de vous connatre
Mais vous aurais connu avant de disparatre
Je ne suis pas peu fire, mais je tiens en rire
Entre toi et le poster, j'ai du mal choisir
Et je te dis Vous
M'avez blouie
Moi qui n'tais rien
Vous qui aviez tout
Vous m'avez dit Tu
Es belle, toute en noir
Quand vous tes venu
M'couter un soir
C'tait au mois de mai, j'm'en souviendrai toujours
J'tais morte d'angoisse, vous sachant l dans l'ombre
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
Vous le grand, moi la p'tite, soyez l si je tombe
La gloire est si fragile mais bien moins que mon coeur
On dit qu'elle est le deuil clatant du bonheur
La fin du polar, si vous deviez mourir
J'essaierais c'est promis de garder le sourire
Et je te dis Vous
M'avez blouie
Moi qui n'tais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit Tu
Es belle, toute en noir
Quand vous tes venu
M'couter un soir
Et je te dis Vous
M'avez blouie
Moi qui n'tais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, toute en noir
J'etais si mue
Sous votre regard
Quand vous tes venu
M'couter un soir