[Couplet 1]
L'ampleur des peines les gène et ça se voit, ma gueule
Rends-leur la monnaie de la pièce, qu'ils s'aperçoivent un peu
Oublie les menaces sales qui tracent leurs routes
Émanent le long du tier-quar, à mesure qu'le soleil s'écarte
Tu croisais des gens pas nets attendant ton départ
Sous l'abri des bons salaires, allant compter tes regards
Là, tu rentres chez toi, l'air désemparé
Tu croises les rents-pa, mais tout ça sans parler
Tout à coup t'avoues à tous que l'effet d'la drogue t'a empalé
Que les mecs d'à côté t'ont phasé sous l'accumulation des menaces
Qu'il ait vu que t'aies fait pa**er mais quel est ce doux vice
Qu'élimine la plupart d'nos amis, hein, quel est ce doux vice
Qui débute pour un rien, finit par une usure
Tokyo au début nous met bien mais nous vole les neurones
Dis-moi, dis-moi, ce qu'il se pa**e quand tu n'as pas sa queue
Les thunes à papa sont sous la table ba**e
Hein, dis-moi, dis-moi, ce qu'il se pa**e
Quand tu n'as pas sa queue
Les thunes à papa pa**ent sous la table ba**e
[Coupet 2]
Hello, hello, ici L.O.N.E.P
Venu pour élever les mots, non pas les dépecer
J'ai mon ego qui m'dit "Eh oh t'es teubé"
Quand les bédots m'élevant mêlé aux bienfaits des laissés
La nuit, mes lésions ne me laissent pas zen
Allumer des joints minimisait mes peines
Après, si on t'presse, la pression s'fera
Alors apprécions c'game sans affection plate
Ça s'concilie à rien, sans conciliabule
Et sans qu'on s'immisce à 10 quand les cons irritent à plus
Et nous ressentons cette insolence nous
Quand c'est un seul être qui nous devient insolite
Quand s'éteint notre pet' et qu'la mélancolie vient d'office
Moi, j'ai vu des gars, des couples, des délégués, des gros dégâts
Après des gamelles et des gueules égarées
Loin des halls, des guerres éparpillées parmi les cœurs et volées par
Des potes à la pitié rare
À la fin d'ce couplet, mon fort intérieure m'a dit : "Dépose ta larme ici et pars"
À la fin d'ce couplet, mon fort intérieure m'a dit : "Dépose ta larme ici et pars"
Pars
Pars
Pars
Lonepsi
L.O.N.E.P.S.I., check