Il y'a tellement d'espaces Dans lesquels se réfugier Des maisons de mille ans Où mes ancêtres parlent Les coins de salles sombres Dans le coin de ma tête Je construis des pénombres A tout moment de fête Pour reposer mon sang Reposer mon sang Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Naviguer en forêt Naviguer dans tes bras Il nous faut naviguer Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Il nous faut naviguer Il y'a tellement d'espaces Que l'on n'ose franchir Je ne parle pas de frontières Je ne parle pas de partir Je ne parle pas d'un endroit Que l'on cherche dehors Mais d'un vaste refuge Que l'on porte en soi Pour reposer son sang Reposer son sang Reposer son sang
Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Naviguer en forêt Naviguer dans tes bras Il nous faut naviguer Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Il nous faut naviguer Je ne parle pas de regrets Je ne parle pas de souvenirs Je parle d'un endroit Où tout semble s'unir Et danser dans un feu Je ne parle pas de frontières Je ne parle pas de partir Mais d'un vaste refuge Que l'on porte en soi Pour reposer son sang Reposer son sang Reposer son sang Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Naviguer en forêt Naviguer dans tes bras Il nous faut naviguer Naviguer dans une chambre Naviguer sur un banc Il nous faut naviguer Il nous faut naviguer