Buenos Dias, quoi de neuf depuis la dernière fois?
La machine s'accélère, ses sombres desseins s'aperçoivent
Frustration est plus grande, devine qui sont les truands?
Politiques nous étranglent, la cage de plus en plus étroite
Ils veulent nous insérer la disquette, nous transfuser la puce
Entre leur loi comme Loppsi 2, leur Codex Alimentarius
Leurs blocus sans pitch, une police qui se militarise
Quartiers pointés du doigt comme les ennemis de la république
Autonomes traités de terroristes, pendant que dans leurs rhétoriques
Te font pa**er les pires tyrans pour des exemples d'héroïsme
Louent la réussite égoïste... mais dans l'échec collectif,
Dis-moi à quoi ça rime de vouloir sauver sa vie?
Sauve ton âme des griffes des fils de Lucifer
Des noeuds plein les viscères
La Force est infinie comme l'univers
Allez leur dire, pas de ceux qu'on dresse la carotte au bout d'une ficelle
Rêvant de cha**er les maîtres comme la jeunesse Tunisienne!
Buenos dias, je vois Liberté s'en aller
Pour elle je reste vraie, je n'ai pas rangé mon franc-parler
Les murs se resserrent et la machine s'est emballée
Tous leurs slogans rendent tarés, innocents en maison d'arrêt
Babylone s'est emparée de nos esprits, regarde bien
Sens-tu la peur t'envahir, vie endiablée et TF1
L'Humain est-il défunt? plus de place pour le sacré et le divin
Les petits rêvent de fingues, et la moitié de la planète crève de faim...
2011 voici le décor, familles que l'on déporte
Les mêmes que l'on enferme que l'on accuse de tous les torts
Et pendant que société dort avec des clous dans ses bouées
Dîtes-lui que tout ce qui est bâti sur l'injustice est voué à s'écrouler
J'vois le temps s'écouler, les esprits se rétrécir
Shetan amadouer une Humanité dépressive
L'obscurité s'épaissit, retour de celle qui nique la norme
4ème missile ou juste l'esquisse d'un autre album...
J'arrive du monde de demain
Keny Arkana / Keny Arkana
Ouvre ton coeur et voit le monde
Vois le besoin, pas la demande
umière, vient de l'Ombre
Le monde s'écroule dans la tourmente
Tous mentent, et l'humain meurt doucement
Tout ce temps perdu pour que les sous rentrent
Souvent on se perd, vie trop sâoulante
On triomphera qu'en se soudant...
Le jour où Babylone tombera, ce sera le jour où je danserai
Flamme de Myriam de Magdala avec quelque chose de Florence Rey
Je ne triche pas mais transgresse, je retranscris et transmets
Et si les croisés nous transpercent, c'est pas des roses que je lancerais
Je cherche la paix au milieu de gladiateurs
Des fois je me dis que c'est comme chercher de l'humanité,
lorsqu'on t'attache au radiateur
Paradis des coeurs coupés à la peur, j'ai pris la plume
Comme on prend l'épée pour défendre une liberté qu'il n'y a plus
Contre leur folie qui fabule, leur crimes et leur abus
On pète les plombs parce qu'on sature, ça fait combien de siècle que ça dure
L'Histoire de l'Homme est son histoire
Il n'y a que lui qui puisse changer les dernières lettres de son grimoire
Pa**e de l'autre coté du miroir
Viens voir la vie de l'intérieur, ramène le coeur à la même couleur que l'ivoire
Chemin du retour, la mémoire nous revient comme la victoire
Le monde s'écroule mais on ne craindra pas demain parce qu'on y