Immense est la lumière, dans ce désert Cruel destin qui me porte Aveuglé dans ces lieux, je marche solitaire Dépa**é par cette peur si forte Dans ce jeu mortel, je reste prisonnier Traquant cet homme sous un ciel inerte Qui laisse sur mon chemin, des cendres inanimées Dieu ou démon, tu danses dans ma tête
Les gens te vénèrent et moi je te maudis Mon eau s'épuise, ton courage succombe Je connais que tes gestes, et ces feux dans la nuit Vois comme le doute survole nos ombres Il y a si longtemps, que tu me fuis Cherchant à effacer mon chemin Je reste le dernier homme qui te poursuit Et toi seul en connais la fin.