Car à l'instant même du désastre
Il faut d'abord apprendre le nouveau visage de ceux que l'on aimait
Il faut en image fermer ces yeux qui regardaient si bien en face
Croiser ces bras qui distribuaient de ce beaux gestes
Clore ces lèvres dont les paroles savaient si bien nous réchauffer
Et le visage nouveau nous blesse durement au cœur