a**is sur un banc j'attends un mirage l'impossible voyage et le tourment me rattrape me détraque le grand vent m'attaque je sens la beauté m'échapper rongé je me sens esquinté j'ai des visions de prisons brutales comme Pilate je sens la mise à sac c'est la fin du parcours j'aime errer dans le noir sans espoir je suis les orages pour être foudroyé sans impact j'ai le corps soudain a**a**in compact perdu pour l'attaque c'est la fin du parcours quelque chose m'échappe mes réflexes se détraquent contraint je vomis toujours plus loin de la vie mais j'ai autant de désir qu'un vampire qu'un yack j'ai le désir intact c'est la fin du parcours et l'allure s'appauvrit se singe à l'envie
le cœur s'affale dans le très ban*l l'amplitude s'oublie entre les instants de vie puis on trouve normal d'avoir toujours plus mal c'est la fin du parcours les muscles se la**ent le sourire se fane la peau au contact moins vite se rétracte le goût se trahit les couleurs s'a**ombrissent les pa**ions se chapardent dans d'étranges histoires puis un fossé grandit à la jeunesse on envie l'irruption brutale du désir animal et le corps trahit cheveux dents un souci par instants on trouve normal dans le cœur une balle c'est la fin du parcours dans les chansons tout est dit trois ou quatre ont suffit c'était le dernier bal bonsoir et bye bye