Deux siècles d'or N'ont pu tuer Ce chant heureux De la jeunesse Du corps violent Des fédérés J'ai dans mon sang Le vin de messe J'ignorais rien J'ignore tout Je suis ma propre
Forteresse Reviens m'abattre Noble tambour Deviens rebelle à la paresse Déjà deux siècles Et chaque jour J'attends la fin De la tristesse Deux siècles déjà Que le tambour...