Ah, il faudra que tu traces
Dans le creux de ma main
Une ligne immense
Comme une route
Comme une blessure
Qui m'approche de toi
Qui m'approche de moi
Ah, il faudra que tu glisses
Dans le creux de mon oreille
Les mots qu'il faut
Que tu les laisses rouler
Dans le creux de ma joue
Je veux vivre comme il faut
Tu es le feu, tu es les larmes,
Tu es la fondation,
Tu es la tendresse, tu es la tristesse,
La destinée
Toi que l'on n'homme pas
Eh eh, toi que l'on n'homme pas
Ah, il faudra que je pense,
A te téléphoner,
Toi qui n'a pas de numéro,
Tu es pénible à joindre,
A joindre les deux bouts,
Qui font tenir debout
Tu es le feu, tu es le charme,
La fondation,
Tu es la tendresse, tu es la noblesse,
La destinée
Toi que l'on n'homme pas,
Eh eh, toi que l'on n'homme pas,
yeah, yeah, yeah…
Ouh, ouh, ouh…
Quand tu as décidé,
De nous laisser tomber,
Nous, on tombe parterre,
Quand tu as décidé,
D'un peu nous monter,
On s'envoie en l'air
Hum, toi que l'on n'homme pas,
Toi que l'on a du mal à dire,
Toi que l'on a du mal à croire,
Hum, on sait quand tu es là,
Et le reste du temps,
On t'attend, on t'attend, on t'attend
Yeah, yeah
Tu es le temps, tu es le charme,
Tu es la tendresse, tu es la noblesse,
Tu es le feu, tu es les larmes,
La destinée.
La destinée.
Ta la la la la , la la la la…