La galopine À pleine main Branle la pine Au beau gamin. L'heureux potache Décalotté Jouit et crache De tout côté. L'enfant rieuse À voir ce lait Et curieuse De ce qu'il est, Hume une goutte Au bord du pis, Puis dame! en route, Ma foi, tant pis! Pourlèche et baise Le joli bout, Plus ne biaise Pompe le tout! Petit vicomte De je-ne-sais, Point ne raconte Trop ce succès Encore un coup! La galopine À pleine main Branle la pine Au beau gamin. L'heureux potache Décalotté Jouit et crache De tout côté. L'enfant rieuse À voir ce lait Et curieuse De ce qu'il est, Hume une goutte Au bord du pis, Puis dame! en route, Ma foi, tant pis! Pourlèche et baise Le joli bout, Plus ne biaise Pompe le tout! Petit vicomte De je-ne-sais, Point ne raconte Trop ce succès ---------------------------------------------------------
Le poème original: ------------------------------------ La galopine À pleine main Branle la pine Au beau gamin. L'heureux potache Décalotté Jouit et crache De tout côté. L'enfant rieuse À voir ce lait Et curieuse De ce qu'il est, Hume une goutte Au bord du pis, Puis dame! en route, Ma foi, tant pis! Pourlèche et baise Le joli bout, Plus ne biaise Pompe le tout! Petit vicomte De je-ne-sais, Point ne raconte Trop ce succès, Fleur d'élégances, Oaristys De tes vacances Quatre-vingt-dix: Ces algarades Dans les châteaux, Tes camarades, Même lourdeaux, Pourraient sans peine T'en raconter À la douzaine Sans inventer; Et les cousines, Anges déchus, De ses cuisines Et de ces jus Sont coutumières, Pauvres trognons, Dès leurs premières Communions; Ce, jeunes frères, En attendant Leurs adultères Vous impendant.